Quand on est bien bloqué, quand on n’a pas d’argent,
Quand on est esseulé, quand on a trop de temps,
Quand pour passer ce temps, on va soliloquant,
Quand on ne peut écrire, que de simples… quand quand,
Qu’en pourrais-je penser qui ne fusse choquant ?
Quantième de ma vie qui file inconséquent,
Quantitativement, quand s’entassent les ans,
Quant à moi, je ne peux qu’aller les quantifiant.
Quand je suis fatigué du canter finissant,
Quand je vois me narguer le cancer terrifiant,
Quand je ne sais vraiment comment fuir son carcan,
Quand j’en ai vraiment marre, de ce foutu boucan,
Quand je suis épuisé, quand je vais suffoquant,
Quand je me dis que Dieu n’est guère convaincant,
Quand toutes ces années je m’en vais disséquant,
Dis c’est quand ?
Que cesseront ces quand, que je foute le camp !
Triste, oui, déchirant même. Quant au soliloque, point de trace ici. Enfin, je ne crois pas.Beau… c’est insuffisant pour exprimer ce qui m’étreint quand je lis ça.A bientôt JC
C’est quand??…bientôt ..peut-être, " Quand" c’est si près et si loin parfois…mais un infisimale seconde dans l’éternité…alors "Quand" devient ce que tu veux qu’il soit…quand toi tu le décides…alors??.. c’est Quand Jean-Claude….sourire…magnifiques sont tes mots, et comme la souffrance peut-être belle aussi,Quand elle est exprimée de pareille manière..mille bisous, Cristale
tu me coupes le souffle, toujours autant que ce soit avec des qui, des quoi, des quand en tout les cas sur toi, pas de cancan tu égayes nos jours de tes mots simplementje t’envoie en ce jour tous mes remerciementsun gros bisou à toi pour ce si bon moment Régine
Je ne sais qu’en dire….C’est si triste, et si beau… Comment la tristesse peut-elle être belle ?Bisous. A bientôt