Je t’avais rejetée aux portes de l’oubli.
Ton souvenir s’était, peu à peu, affaibli.
Il était à deux doigts d’en enjamber le seuil,
Voilà que tu reviens pour empêcher mon deuil.
Mon père, un jour m’a dit : " Tu possèdes chez toi,
Dans un beau vaisselier, pour ta plus grande joie,
De belle porcelaine, un superbe service,
En usant chaque jour pour ton plus grand délice."
"Malencontreusement, une assiette se brise.
Tu en es consterné. Quel manque de maîtrise !
Ramassant les morceaux, tu te rends aussitôt,
Chez le raccommodeur, un véritable pro."
"Après quelques semaines, l’artiste a excellé.
Tu retrouves l’assiette, comme miraculée.
Tu as beau la scruter, on dirait qu’elle est neuve,
Tu en es enchanté, tu en oublies l’épreuve."
"Tu te sers de l’assiette, en fait, tout comme avant,
La lavant chaque jour et puis au fil des ans,
L’assiette se recasse, la colle ayant fondue,
Par la vieille blessure la voici refendue."
J’ai retenu l’histoire, je te la livre ici.
Mon père avait raison, disons lui donc merci.
Le vaisselier rangé aux portes de l’oubli,
Ton charmant souvenir de nouveau s’affaiblit.
C’est bon aussi de manger directement dans le plat, plus solide, plus grand à défaut d’être plus élégant et surtout sans aucune notion des quantités avalées, sans restrictions…
celui la aussi je l’ai beaucoup aimé 🙂
Au SELF SERVICE Phil Au SELF SERVICE !JC
quand tu n’as plus d’assiète, tu manges dans quoi?phil
je fais allusion à ta facilité d’écrire et de pianoter sur le clavier!!!!!!!!!! voilà bises dominique
pas de porcelaine, pas de cristal, pas de faïence… comme ça pas de risque…pas besoin de colle non plus juste une poubelle…lolun gros bisou une bonne journée Régine
merci d’être passé sur mon blog et d’y avoir laisser un commentaire le train de l’espoir est passé devant moi, mais je n’ai pas su le prendre.quoi qu’il en soit je l’ai vu peut-être que mes yeux s’ouvriront à nouveau et arreteront de regarder en arrière merci de tes jolis textesamitiésRQPT
re/re : ps : cauchemar connais pas dom
lire à : doigts quand ils nous……………………….dom
aucune définition de morfler dans les diccos maison!!!!!!!!!!!!!! mais au propre comme au figuré, sans aucun doute, nous morflons des ronfleurs polluant nos nuits quoique cela dépende du sommeil de l’autre!!!!!!!!!!! et du sien , et je me demande si je ronfle comme un sonneur et a n’en pas douté OUI vive les chambres à part!!!!!!!!!!!!!!! pourrais tu écrire un billet là – dessus, cher jongleur de mots et avec une telle facilité que j’en morflerais bien!!, une fidèle lectrice dominique
Et ainsi il en va de la vie autant de fois recollée et cassée, mais unique donc mieux vaut pas la gaspiller, très joli mot le dernier dominique
et pour les assiettes ébréchées il disait quoi ton père ???? car parfois les vieilleries un peu abimées on a pas envie de s’en débarrasser … ;)gros bibi mon jc(ps : c est moi la preum’s, la best, la plus merveilleuse, la plus géniallissime……..lol)