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Archive for juillet 2005

SOS muse !

 
Les esprits qu’ils soient grands ou non
se rencontrent parfois.
Dessin du jour de Régine
qui à la lecture de mon poème vient de me l’offrir.
 
et régalez-vous. 
 
 
 
 
 
Ma muse est une femme. Elle est bien capricieuse.
Je la sens bien maussade et surtout silencieuse.
Je crois que j’ai compris. Elle veut son poème.
Je vais poser ces mots sur sa tête en diadème.
 
"Si tu n’étais pas là dans mes moments amers,
J’oublierais aussitôt mes idées éphémères.
Mes vers manquent souvent un peu trop de beauté,
Tu viens, par ta musique, me les faire chanter.
 
Lorsque l’amour s’en vient, tu réveilles ma plume.
Lorsque l’amour s’en va, tu chasses l’amertume.
Lorsque la vie sourit tu demeures discrète,
Et lorsqu’elle est tristesse, tu es là, toujours prête.
 
Toi qui me vois cloîtré dans cette solitude,
Dont la sérénité m’est bien douce habitude,
Surtout, je t’en supplie, ne me déserte pas,
Et viens guider ma main, j’ai trop besoin de toi."
 
*
 
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Merci à toi
 

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Pensée du jour

 
Affection :
 
Convalescence après maladie d’amour.

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Pensée du jour

 
Comme tu n’es qu’un mirage,
 
Je ne suis en colère qu’à moitié…

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Pensée du jour

 
Je me souviens de sa robe en lamé.
 
Je me rappelle de sa robe en moire.
 
C’est quand même vraiment beau
 
…la mémoire.

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Mots accrochés à l’esse…

 
Le délicat parfum de l’amour en tendresse
La suave douceur de tes mains en caresse
Le vent tourbillonnant de ta bouche promesse
Les éclairs foudroyants de ton regard ivresse
 
Le sentiment éteint d’une vieille jeunesse
Les douloureux relents d’une ancienne allégresse
La tempête des mots de ta bouche tigresse
Et la gueule de bois de mon regard tristesse
 
Me voici seul avec l’âme demanderesse
Qui ne s’épanouit pas de maîtresse en maîtresse
Mais je ne sombre pas, pourtant dans la détresse
La vie sans toi demeure encore enchanteresse
 
J’accommode ma vie grâce à cette sagesse
Ayant anéanti mon envie vengeresse
Je goûte mes instants avec délicatesse
Et ma plume en devient modeste poétesse
 
*
 
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Merci à toi
 

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Pensée du jour

 
Mélan…colie ?
 
Quelqu’un mettant
 
quelques paquets de tristesse en vrac.

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Piratage

Gégé (Le dahut) s’est fait piraté son blog, et c’est bien dommage ! Il y a quelques jours il a reçu un mail bizarre anodin en apparence et quand il l’a ouvert il s’est retrouvé sur sa fiche d’identification.
Si vous allez sur son site vous ne trouverez qu’une tête de mort avec en titre : " Je t’é K cé !"
Tant de mois de travail anéantis par un idiot qui se croit sans doute très malin.
Gégé est écoeuré et comme il y avait trop de liens sur son blog il n’a pas envie de le recommencer et je le comprends. C’est regrettable car ce blog était notre détente.
Alors faites attention aux mails que vous recevez et comme le suggère minnie351 sur son blog faites en sorte que la réponse à la question secrète de votre fiche  soit difficile à trouver. Cliquez ici pour le billet en question :
Quant elle parle de courriel il s’agit de la boîte aux lettres msn bien sûr
Et bons blogs à tous malgré tout
 

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Pensée du jour

 
Il ne faut pas perdre l’espoir.
 
Surtout l’espoir Williams !

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Pensée du jour

Le remords
 
c’est un coup de dents en trop…

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Feu Femme Epine

Parcourant de la vie les sentiers épineux,
J’ai habillé mon corps de vêtements rugueux,
Et les griffes des ronces, n’emplissant plus leur rôle,
Je franchis les chemins en haussant les épaules.
 
Mon coeur est à l’abri, endurci et serein,
Et je cueille la rose, pour humer son parfum.
Mes mains sont burinées et ne sont plus très fines,
La rose fleure bon, au diable ses épines !
 
Ma tête ne rêve plus d’une vie "Machiavel"
Et ne se blesse plus aux amours démentielles,
Je vis seul désormais, ne veux plus être deux,
J’ai jeté les épines, au milieu d’un grand feu.
 
Ce feu qui détruisait et mon coeur et ma tête,
Ce feu qui m’empêchait d’être encore à la fête,
Ce feu qui m’avait fait devenir un amant,
Ce feu où je revis, quand il va s’éteignant.
 
Je croise tous les jours tes yeux de pyromane,
Femme dont le regard aux flammes me condamne.
Garde tes yeux de braise, pauvre petite amante,
Mon étincelle est morte en ces cendres fumantes.
 
Et si la route un jour effaçait tous ses pièges,
De ton amour madame, point ne ferait le siège.
Car si naïvement je me fiais à ta mine,
Les chemins aussitôt regorgeraient d’épines.
 
Je veux marcher tout droit, sans détourner les yeux,
En un mot comme en cent, je voudrais être heureux.
En tenue de soirée, je veux finir ma vie.
N’essaye plus, madame, de flêtrir mon habit.
 
*
Ecrit un jour de grande déprime.
Je vous prie de bien voulor m’en excuser, mesdames…
 
*
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