La feuille blanche est là, présente, me narguant.
La plume s’en approche assez timidement.
Les sujets sont nombreux mais usés par le temps,
Et les mots éculés se montrent défaillants.
Amour et amitié, travail, santé, argent,
Religion, politique et tout le contingent,
Postulent tout à tour pour remporter la palme,
Et dans la tête en feu a disparu le calme.
La nature oubliée arrive à la rescousse,
Et l’élan de l’été provoque une secousse,
Mais les fleurs, le soleil, ont déjà trop servi,
Et dès lors je me sens un peu inassouvi.
Je prends alors le temps de visiter mon banc,
Mais il est occupé, je reviens titubant.
Je jette quelques lignes, mais la pèche est mauvaise.
Je reviendrai plus tard, fermons la parenthèse.
Rire…j’adore cette feuille blanche qui te nargue, et pour la panne sèche, des pannes comme celle-là, j’en veux bien tous les jours..trop trop génial !! ..ha…toutes mes excuses pour le banc..rire..bah oui, me suis assise dessus avant…mais je t’aurai laissé une tite place avec grand plaisir…on aurait écrit à deux pis c’est tout..sourire !Merci pour ton trop gentil ptit mot sur mon poème, et des cascades de bisous pour toi…je t’adore, Cristale
bonjour en panne !!! étonnée !!! étonnant malgré tout les mots ont dit mais pour te donner des ailes voici quelques mots marinsbrume pharemervagueslune bateau amour j’espère que l’inspiration te reviendra merci pour ton gentil commun gros bisou à toi Régine
Mais comment fais tu? Page blanche? Panne sèche? Et pourtant encore des mots qui me parlent si bien. A bientôt, bisous.Maya
la panne sèche tombe a pic ! un peu plus et elle tombait a l’eau !pas si usé que ca !!!! le tour de france ……….. ;)et puis tu sais moi aussi j’aime quand tu pars en thèse !!!! hihiallé gros bibi mon JC 🙂