Une nuée d’espoirs est passé dans le ciel.
Les oiseaux guillerets les portaient sous leurs ailes.
Je me suis demandé si l’un était pour moi,
Mais ils ont disparu et maintenant j’ai froid.
Des nuages d’ennuis sont ensuite apparus.
J’ai joué à celui qui ne les avait vus.
Mais prudent maintenant, je me suis vite enfui,
Saisissant au passage un très grand parapluie.
Toi, la belle inconnue, tu passes dans mon ciel.
Tu me fais voir l’espoir bien caché sous ton aile.
Mais tu n’es que mirage et vient mon désarroi,
Car tu as disparu et maintenant j’ai froid.
Avec tous tes ennuis, tu es réapparue.
J’ai joué à celui qui ne t’avait pas vue.
J’ai détourné la tête et me suis vite enfui,
Te laissant toutefois mon très grand parapluie.
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