Te voudrais-je présente, ici, à mes côtés ?
Question à la réponse emberlificotée !
Aurions-nous cette fois quelques envies ensemble ?
Pourrions-nous partager tout ce qui nous rassemble ?
Ne voudrais-tu pas bleu quand je n’aurais que rose ?
Pourrions-nous toi et moi chasser le temps morose ?
Et connaîtrions-nous cette métamorphose,
Merveilleuse fusion, miraculeuse osmose ?
L’un des deux, je le sais, châtrerait ses désirs,
Pour procurer à l’autre un monceau de plaisir.
Mais ses propres envies, jamais ne renaîtraient,
Et l’amour, peu à peu, comme avant, s’enfuirait.
Je ne te veux pas présente à mes côtés.
Mes envies rallumées, presque ressuscitées,
Ne retrouveront pas leur première saveur,
Sans doute as-tu éteint un peu de leur ferveur.
*
Bonsoir,je n’étais pas venue depuis un petit moment et je retrouve toujours et encore cette même ardeur…J’ai encore et toujours le plaisir de te lire et relire…MERCI
kikoooo mon Jc !!!j’aime vraiment beaucoup ce que tu écris, malgré parfois la dureté de tes mots, souvent envers toi, il ressort toujours une grande sagesse de tes textes !! lolBon, tu m’as encore fait mourir de rire avec ton comm !! lol alors non non je te crois mon Jc si tu parles de 1839 pour !tartempion !! lol mais ce que je sais aussi, c’est qu’en société la première fois où ce terme a été employé, par une personne très spéciale, c’est celle dont je parle !! lol et là ce n’est pas de l’argot lol !kissssssssssss amiclo
Salut JC! J’espère que ça va bien par chez toi dans le Loiret! Tu penseras à un ptit billet en argot (pour faire plaisir au Gui).Avec du soleil!