Tristesse de l’automne où l’on voit tout mourir,
Mélancolie chagrine effaçant les sourires,
Une gerbe fanée de quelques vers figés,
Vient nostalgiquement la plume submerger.
Tous les bons souvenirs paraissent surannés.
L’encre n’accouche plus que mots empoisonnés,
Cette morosité exerce des pressions,
Et je vois arriver l’amère dépression.
L’âme en elle-même est plongée dans le vague,
L’esprit un peu perdu, voilà que je divague.
Je regarde dehors cette terre de feu,
Je me vote une loi instaurant couvre-feu.
En mauvais délateur résiste le cafard,
Rendant alors mon teint de plus en plus blafard.
Je vais pourtant sonner le glas de ce bourdon,
Demain sera cadeau et moi digne d’un don.
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Excellent !!!!
hellomerci pour le petit passage et le petit mot…le pb avec toi c’est qu’on cherche toujours un sens caché derrière ce que tu écris!!!en tout cas ce poème suffit à exprimer ce que je ressens en ce moment!!! bonne soirée bizzz
Bonsoir Jean Claude.Le jour ou je serrai capable d’en faire autant que toi, le ciel nous tombera sur la tête.Ils sont tous plus beaux les uns que les autre les tiens, et j’adore quand tu mets une pointe d’humour.Bises et bonne fin de soiréeELoïse une fan de tes écrits
Bonjour mon copain J.C.On voit que l’automne est partout, quel est en toi, en nous. Si tu vois arriver la dépression, moi je vois que ta plume est toujours aussi belle, alors continue à t’accrocher à elle..Bonne journée à toi J.C. et garde ton sourire.Amitié Bernard