Laissons aller la plume au gré des mots qui viennent
La rime les guider telle valse de Vienne
Enfermés dans la phrase et sa piste de danse
Six couples douze pieds respectant la cadence.
Un quatrain est venu, je regarde la strophe
Dois-je donc m’obstiner ? Vais-je à la catastrophe ?
La boule du plafond fait vaciller les rimes
La musique surgit aux notes elles s’arriment.
Le rythme nostalgique a fait naître une image
Et difficilement se forme le visage.
Le kaléidoscope et ses souvenirs tanguent
J’hésite à extirper la belle de sa gangue.
Les yeux de celle-ci se mêlent à l’instant
A cet autre sourire Ô combien envoûtant !
Des lèvres tant aimées me frôlent de nouveau
Me voici emporté en ce bel écheveau.
J’aperçois quelques mots tristes qui font banquette
Point je ne les invite ils gâcheraient la fête
Troupeau de mots regrets en larmes et soupirs
Je préfère de loin les y laisser croupir.
Ils seraient de surcroît de bien mauvais danseurs
Marcheraient sur mes pieds en tuant la douceur
De ces moments bénis que m’offre le poème
Et la plume oubliée de ma vie de bohème.
Comme tout le monde, je crois, j’ai rêvé, je rêve parfois de la formule décisive, de ces mots entre les mots qui seraient les mots de la fin et la fin des mots.Claude Roy tres joli moment passer, sur ton blog..a tres bientot, sur le chemin des motsMatth
douce musique de motsbise JCJust
Bonjour mon ami JC.Juste pour te dire que je viens de passer mon blog en hors public. Ces derniers temps trop de déconvenues déstabilisantes. Ne soit pas inquiet, je passerai de temps à autre pour laisser un com. et entretenir l’amitié.Ton copain Bernard
Merci beaucoup pour votre message! Oui tout se passe merveilleusement bien ici et je pèse mes mots!Je vous souhaite de passer d’excellentes fêtes vous aussi et merci de nous faire écouter Piensa en mi! C’est une de mes chansons préférées…bisous
Coucou JCQuel bonheur en ces lendemains de fête de me ballader chez toi. Je m’y sens un peu chez moi maintenant… Tu as déposé de nouveaux cadeaux, des textes de plus en plus riches de vérité et de poésie….Juste à côté del a banquette des mots tristes regarde bien… Une petite lumière avec un carnet de bal……La prochaîne valse …. Tu me l’avais promise……Bisous
Mais c’est toi notre maitre pour notre vie de bohème. Un exemple de vie de rire dtout en assumant sa part de solitude. Un Homme.AmitiésNous
bonjour jcToujours un grand plaisir de vous lire,sur une jolie musique.Merci pour ces instants,que du bonheur!bonne semaine.