Mais t’es haut mon ami, qu’as-tu donc ce matin ?
Qui t’envoie donc ce souffle à te rendre chagrin ?
Aurais-tu lu Mistral, sire Rocco croisé ?
Combattu les moulins et contre les marées ?
Tu as le nez dedans et même lorsqu’il tourne
Bien plus vite que lui, leste tu te détournes.
On ne te dit plus quel est le bon qui t’amène
Qui t’a fait b aliser ou bien quel Foehnomène (!) ?
Les flatulences du monde ont odeur de tempête
Mais à Bora Bora les parfums sont en fête.
Evade-toi ami, que l’autan t’en emporte,
Joue donc de l’instrument déverrouillant ta porte.
La colère parfois fait que trop nous moussons
Ô vieillesse ennemie ! Ô rage nous crions !
Chasse donc mon ami ceux qui sont dominants
Et dis-toi bien surtout que tout ça c’est du vent.