L’égoïsme est latent, il n’attend pas grand chose.
Le nombril important il en a l’overdose.
Tous les bons sentiments en paroles s’envolent.
Il en retient les cris qui en dedans s’affolent.
Le silence étant d’or il aime sa richesse.
Avec son plein de vide il cherche la sagesse.
Il regarde le cirque, où est monsieur Loyal ?
Ne restent que les clowns et il sait ce qu’ils valent.
Il ne demande rien si ce n’est la quiétude.
Il vante à tout venant bien haut sa solitude.
Il s’est construit un monde où tout n’est que fiction.
Il fait l’amour avec son imagination.
Ne le réveillez pas, laissez-le dans son rêve.
Il sait bien que la vie est bien souvent trop brève.
Et dans cet univers, sans aucun dieu ni maître,
D’amour et d’amitié, laissez-le se repaître.
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