Je n’ai jamais chez nous eu besoin de lumière
Ton éclat naturel suffisait à mes yeux
Mais maintenant tout seul dans ma pauvre chaumière
J’ai interdit l’entrée aux mirages radieux.
Ainsi ont disparues toutes les zones d’ombre
Et de ton clair obscur à mon obscur très clair
Je ne redoute plus des obstacles le nombre
Car en fermant tes yeux j’ai retrouvé mon flair.
Je n’ai jamais chez nous pu trouver le silence
Le calme était absent dans la gentilhommière
Mais maintenant tout seul je chante et puis je danse
Je me suis interdit tous tes sons et lumières.
Tes éclats de voix ont rejoint ceux de tes yeux
Et de tes ultras sons à mes sons très ultras
Je ne redoute plus la surdité des vieux
En ne t’entendant plus l’ouïe n’a plus d’embarras.
Je chasse les éclairs craignant les coups de foudre
A la moindre lueur quand j’aperçois la belle
Je prends rapidement d’escampette la poudre
Je ne veux plus revoir les trente-six chandelles.
Y’a pas de même si !!! 😀
Bisous quand même 😉
Et bien ! Quel sons et lumières !
Une libération ? 😉
J’aime beaucoup ce texte JC, même si … même si … 🙂
Bisous
en ombre et lumière, en clair obscur, belle déclinaison lumineuse du déclin des sentiments
Belle journée à toi JC de mon coeur !
Très beau et très drôle bien qu’aussi sérieux…
Merci pour ton commentaire, j’apprécie que tu apprécies !!!
Bizous..!