Peut-être pour tester ce que devient l’espritEt peut-être aussi pour tromper l’ennuiJe me suis imposé ce jeuJe fais ce que je peuxEt ma plume se perdLe rythme des mots est perversLa rime s’en moque, en est même hilareElle est toujours au bout du poème bizarre.Cet essai je le crois restera bien sans suiteLe lecteur à raison prendrait la fuiteMais ce fut aumoins amusantMême presque plaisantMais il faut m’arrêterD’écrire comme un dératéSix, huit, dix, douze saurais-je compter ?L’alexandrin me dit : "Tu écris comme un pied."
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