J’étais sûre que je trouverai quelques mots sur lui chez vous.
Par hasard, j’ai vu un reportage sur lui le soir de sa mort. Il a préparé un musée Raymond Devos avant sa mort… Il a préparé sa mort quoi. Dans sa propre maison.
Bonsoir,
Monsieur Devos nous a quitté… j’ai aussi (comme beaucoup je pense) fait un petit billet en son honneur…
Tous les amoureux des mots dont vous semblez faire partie sont un peu orphelins mais bon je suis sûr que là haut ses spectacles affichent COMPLET…
Bonne continuation et bravo pour vos pensées footballistiques…excellentes tout comme la musique…
Je hais les haies
qui sont des murs.
Je hais les haies
et les mûriers
qui font la haie
le long des murs.
Je hais les haies
qui sont de houx.
Je hais les haies
qu’elles soient de mûres
qu’elles soient de houx !
Je hais les murs
qu’ils soient en dur
qu’ils soient en mou !
Je les les haies
qui nous emmurent.
Je hais les murs
qui sont en nous !
Raymond Devos in "Matière à rire".
Après Lino, Georges et César, le dernier des copains s’en est allé…
Ce n’est qu’un au revoir ! Il continue à vivre dans nos mémoires. Ne soyons pas tristes, il nous a laissé tant de bons mots, d’éclats de rires…
Bisous et merci de ton approbation.
Nous avons la facheuse habitude de prendre les belges pourdes cons , ils nous ont offerts les plus grands artisans de la langue et de l’humour. Brel était l’un de ceux là et il nous manque même s’il est présent grâce à son oeuvre magistrale. Aujourd’hui un autre poète, magicien de smots, jongleur des phrases vient de nous quitter, et nous sommes tristes car c’est toute sa magie qui nous fera défaut, sa simplicité, sa gentillesse, sa finesse, sa courtoisie si rare aujourd’hui. Cet homme qui n’a jamais cessé d’être drôle en se faisant un point d’honneur à n’être jamais méchant avec la subtilité de n’accorder aucune complaisance ni flatterie pour autant. Raymond ,c’est promis nous ne te pleurons pas , nous rions aujourd’hui comme toujours de " La mer démontée" det de ces sens interdits qui n’aboutissent jamais, d’Emmanuelle moins sage que Thérèse mais tellement plus désirable même pour le croyant que tu es ! Nous nous grisons de ta musique au piano, à la guitare pour la "jota" . Toi le bon copain de Brassens , l’ami des vrais poètes, et poète toi-même dans un art dont tu resteras le seul maître, et auquel personne n’a osé se hasarder tant il faut du génie pour manier le verbe avec tant de finesse et de drôlerie sans jamais être vulgaire ni grivois , ni caustique, combien devraient en prendre de la graine de nos jours. MAis si je ris et je rirais encore longtemps de tes petites merveilles de génie, ce soir j’ai un peu le coeur gros , dis Raymond dis moi que dans ce monde " sans dessus-dessous" il y a encore de la place pour le rire, à bientôt Grand Maître!
aujoud’hui, c’est mon anniversaire et pourtant je n’ai pas d’envie festive… quoique… peut être qu’il n’aurait pas aimé qu’on le pleurt, comme Nougaro qui voulait qu’on danse sur lui, peut-être faudrait-il rire avec lui, rire de la mort qui, finalement, ne nous prive pas de lui, vu qu’il est là…
ben alors je viens chez toi pour l’apprendre ……. je savais que l’issue n’était pas loin …… un mot comme toi …… grande tristesse ……. GRANDE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Oui, quel bonhomme ! Ses sketches ont marqué ma jeunesse et font partie depuis de ma vie et de ma pensée. Même si on savait que la fin était proche on ne peut qu’être triste en ce 15 juin…
Amitiés
J’étais sûre que je trouverai quelques mots sur lui chez vous.
Par hasard, j’ai vu un reportage sur lui le soir de sa mort. Il a préparé un musée Raymond Devos avant sa mort… Il a préparé sa mort quoi. Dans sa propre maison.
C’est à Saint Rémi Des Chevreuses.
Quant à son ouverture… ?
Bonsoir,
Monsieur Devos nous a quitté… j’ai aussi (comme beaucoup je pense) fait un petit billet en son honneur…
Tous les amoureux des mots dont vous semblez faire partie sont un peu orphelins mais bon je suis sûr que là haut ses spectacles affichent COMPLET…
Bonne continuation et bravo pour vos pensées footballistiques…excellentes tout comme la musique…
Je hais les haies
qui sont des murs.
Je hais les haies
et les mûriers
qui font la haie
le long des murs.
Je hais les haies
qui sont de houx.
Je hais les haies
qu’elles soient de mûres
qu’elles soient de houx !
Je hais les murs
qu’ils soient en dur
qu’ils soient en mou !
Je les les haies
qui nous emmurent.
Je hais les murs
qui sont en nous !
Raymond Devos in "Matière à rire".
Après Lino, Georges et César, le dernier des copains s’en est allé…
Les mots prennaient vie avec lui, ce n’était plus des mots, mais des personnages…
C’est grâce à lui que j’aime autant jouer avec les mots pour soulager les maux, mais sans son talent, bien sûr…
Respect et surtout…. Merci, Raymond, de nous avoir enchanté. Salue Coluche, Le Luron et Desproges, maintenant vous êtes réunis à jamais….
Merci, Jean-Claude, pour cet hommage si bien rendu
Amitiés
Archange
Ce n’est qu’un au revoir ! Il continue à vivre dans nos mémoires. Ne soyons pas tristes, il nous a laissé tant de bons mots, d’éclats de rires…
Bisous et merci de ton approbation.
Bonsoir, blog, très sumpathique, un hommage a un grand homme, ce blog est superbe, et la musique est sublime…………….kiss
C’est de lui !
Je crois à l’immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître
je le cite il aurait aimé ça être l’ex cité
Nous avons la facheuse habitude de prendre les belges pourdes cons , ils nous ont offerts les plus grands artisans de la langue et de l’humour. Brel était l’un de ceux là et il nous manque même s’il est présent grâce à son oeuvre magistrale. Aujourd’hui un autre poète, magicien de smots, jongleur des phrases vient de nous quitter, et nous sommes tristes car c’est toute sa magie qui nous fera défaut, sa simplicité, sa gentillesse, sa finesse, sa courtoisie si rare aujourd’hui. Cet homme qui n’a jamais cessé d’être drôle en se faisant un point d’honneur à n’être jamais méchant avec la subtilité de n’accorder aucune complaisance ni flatterie pour autant. Raymond ,c’est promis nous ne te pleurons pas , nous rions aujourd’hui comme toujours de " La mer démontée" det de ces sens interdits qui n’aboutissent jamais, d’Emmanuelle moins sage que Thérèse mais tellement plus désirable même pour le croyant que tu es ! Nous nous grisons de ta musique au piano, à la guitare pour la "jota" . Toi le bon copain de Brassens , l’ami des vrais poètes, et poète toi-même dans un art dont tu resteras le seul maître, et auquel personne n’a osé se hasarder tant il faut du génie pour manier le verbe avec tant de finesse et de drôlerie sans jamais être vulgaire ni grivois , ni caustique, combien devraient en prendre de la graine de nos jours. MAis si je ris et je rirais encore longtemps de tes petites merveilles de génie, ce soir j’ai un peu le coeur gros , dis Raymond dis moi que dans ce monde " sans dessus-dessous" il y a encore de la place pour le rire, à bientôt Grand Maître!
Je suis hyper triste aussi. C’était un grand mec, à tous points de vue.
aujoud’hui, c’est mon anniversaire et pourtant je n’ai pas d’envie festive… quoique… peut être qu’il n’aurait pas aimé qu’on le pleurt, comme Nougaro qui voulait qu’on danse sur lui, peut-être faudrait-il rire avec lui, rire de la mort qui, finalement, ne nous prive pas de lui, vu qu’il est là…
ben alors je viens chez toi pour l’apprendre ……. je savais que l’issue n’était pas loin …… un mot comme toi …… grande tristesse ……. GRANDE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
@mitiés
JF
Oui, quel bonhomme ! Ses sketches ont marqué ma jeunesse et font partie depuis de ma vie et de ma pensée. Même si on savait que la fin était proche on ne peut qu’être triste en ce 15 juin…
Amitiés