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Archive for août 2006

Manque

 
Poème écrit avec Loup
dont je vous invite à lire les textes
 
*
 
 
Il me manque le sel déposé sur ma bouche
Le vent claquant mes joues en baisers torturés
Et le ciel répandu du soleil qui se couche
Réchauffant mon regard de ses sanguins brasiers.
 
Il me manque la vague et son écume blanche
Qui pénètre le sable et puis qui se retranche
Avalant lentement nos deux prénoms tracés
En effaçant l’amer de la fin de l’été.
 
Il me manque l’oiseau qui chavirait l’espace
Malheureux égaré en quête de lumière
Et chaque jour qui vient devient un jour qui passe
Sans que j’ai ressenti son souffle sur ma terre.
 
Il me manque l’instant où s’éloignant du monde
Les idées délivrées s’envolent vagabondes
Lorsque l’âme de fond en comble est libérée
Inondée de bonheur au rythme des marées.
 
Et me manque ton pas sur la grève endeuillée
Des étoiles de mer qui ne fleuriront plus
Que par ton souvenir, image ensoleillée
Me revenant sans cesse en flux et en reflux.
 
Loup et JC Mian
 

*

 

 

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Ecossais : Homme de petit poids qui est d’un bourg
 
Ecot : Corico si tu mets la main à la poche
 
Ecoutant : Son oreille n’a pas de prix
 
Ecran : Se regarde en boucle ?
 
Ecritoire : Envoie une missive dans les Deux-Sèvres
 
Ecrivaillon : JC en loques
 
Ecrouelles : Ceintures de chasteté
 
Ecu : Le blason s’y portait. Pour les nanas cela n’a pas changé !
         Serais-je blasé ?
 
Ecuyère : Se ramasse à la petite si elle chute
 
Edifice : Descendance du Schmoll
 
 

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Ebahi : de Suffren
 
Ebats : Et hauts
 
Ebauchoir : Je me relève toujours
 
Ebène : dis donc !
 
Ecarlate : Mesure du pas
 
Echine (s’) : En a plein les baguettes
 
Echo : Echo
 
Eclaireur : Est humaine
 
Eclopé : Mégot
 
Ecologie : Scène de ménage

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Mesdames dites-moi, pour qui donc votait-on ?
Voici venu le temps des grandes illusions.
Coupe du monde au loin, un nouveau match débute
Oublions ces goals et ne voyons que le but.
 
Comme dans le passé le choix n’est pas royal !
La langue bien pendue voici monsieur Loyal !
Que francs soient leurs propos, laissez-moi en douter
Aux landes éloignées ça ferait rigoler !
 
De droite et puis de gauche un monde se concentre
Il n’y a pas qu’au centre  et ça fait mal au ventre
L’autre avec son dossard qu’aux idées préconçues
On accorde attention mais on n’y croit pas plus.
 
L’or en barre à la barre est-ce donc plus crédible ?
Et les valses de Strauss qu’en est-il ? Est-ce audible ?
J’ose pain blanc ? Ah non ! Je l’ai déjà goûté
Et le civil pain noir j’en ai assez bouffé.
 
Moi je sais que j’en chie raque mais sans arrêt
Devant leur tableau noir ils cherchent tous décrets
Des crétins comme nous qui en ont plein les urnes
Qui voudraient simplement être heureux dans leurs turnes.
 

*

 

 

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Dunette : Virtuel qui mène parfois en bateau
 
Duo : de ces pyramides…
 
Duplicata : Rides vraiment monstrueuses
 
Durable : On lui a posé un lapin ?
 
Dural : Agonie
 
Duramin : Cal
 
Durée : Parfois en excès
 
Durit : Spécial dans les sectes
 
Dynastie : Soupe à l’italienne !
 
Dystrophine : Déclarent qu’elle est maigre
 

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Douillet : N’aime pas l’alcool. Boit du jus d’eau.
 
Doute : S’installe en plein mois en ce qui concerne le temps
 
Douter : De Paris et toi ?
 
Douzaine : Adepte du yoga
 
Doyenne : Il faut la respecter
 
Dragueur : Ne pas se fier à sa mine
 
Dralon : Fut inventé pour de Gaulle
 
Drolatique : Humoriste nerveux
 
Ducasse : Noisettes
 
Dûment : Rillettes

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Do : Volute
 
Dodu : Il faut payer la note
 
Dolent : Tortue
 
Dominé : Scoliose
 
Donataire : Diègue acide
 
Dopage : Cela couche !
 
Doppler : Charmer les homos
 
Dorsale : Clochard
 
Doublon : Mec sympa qui a la pression
 
Douille : Se décharge quand on tire un coup !!!

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Beau fixe

 
Aujourd’hui le mot râle et n’est pas au beau fixe
Mais le besoin d’écrire est là même prolixe
Disons-nous : "Haut les coeurs !" Mais moi je n’en ai qu’un
Alors je le ménage et prends un air taquin
 
"T’as qu’un coeur mon ami, s’écrie le banc mouillé
Laisse-le réveiller quelques mots oubliés
Tu n’as plus aucun thème écris donc le "Je t’aime"
J’ai répondu : " Pourquoi voudrais-tu qu’il blasphème ?"
 
"Féminité n’est plus que plaisir de mes yeux
Et ils sont bien heureux de n’être que sous cieux
Admirant les beautés en connaisseurs esthètes
Même s’ils ont besoin maintenant de lunettes."
 
"Lune est un endroit où je me rends souvent
Colombine et ses soeurs sont parties dans le vent
Je les contemple alors dans mes rêves ailés
Car moi depuis longtemps j’ai quitté la mêlée."
 
"Mais les douleurs que j’eus sont bien éradiquées
Même si c’est dur de se faire plaquer
Et pour se transformer il faut bien se remettre
Mes essais n’étaient pas de grands essais de maître."
 
Mes trémolos aigus ont bien sûr disparu
Je garde pieds sur terre et j’erre dans les rues
La fontaine est tarie mais à quoi bon pleurer
La morale au beau fixe incite à espérer.
 

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Dinguer : D’une folle ?
 
Diplomatie : Brevet de bûcheron qu’il reçoit debout
 
Discobole : Ne sait pas choisir la musique
 
Discours : 9
 
Discutable : Manquent Jésus et deux apôtres
 
Disjoint : A la H ?
 
Disséminé : Question souvent à la mode malheureusement
 
Distributif : Perruquier
 
Diverge : Partouse
 
Djinn : Tonique
 
 

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Bise arts

 
 
Je suis très triste car je n’ai pas de Monet
Il ferait mon bonheur avec des tons jaunets
J’ai écouté Pink Floyd et savouré "Money"
Mais le disque est rayé je crois un tantinet.
 
J’ai une statue de Vénus en l’état
Cela m’ennuie beaucoup car je l’ai sur les bras
J’aurais aimé avoir le penseur de Rodin
J’ai un panier percé dépenseur en rotins
 
Je me suis quelque part un Mozart ménagé
Soixante-huit balais, j’ai de quoi nettoyer
Mais la musique aidant je me sens soulagé
Sous l’âge est le printemps et je suis réveillé.
 
J’ai relu "Une vie" et tous les maux passants
Des danses de Saint-guy m’ont repris un instant
Je n’ai pas retrouvé le fameux "Bel ami"
Il a dû lui aussi déserter mes ennuis.
 
J’ai encore étalé mes danses de Saint-guy
J’ai opéré alors parmi tous ces guy tri
Et ça charme mon oeil qui a l’air tout surpris
D’encore découvrir de nouveaux traits d’esprit.
 

Puis j’ai regardé Fred danser avec Ginger
Je n’ai pu qu’admirer cela pousse à se taire
Mon parcours terminé j’ai pensé simplement
L’origine à l’art mène irrésistiblement

 
 
 

                         
                 
 

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Une bonne adresse pour vos smileys de toute sorte : GOODSMILEY

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