Mon dieu qu’ils sont plaisants
Ces nouveaux jours de l’an
Au diable les problèmes
Aucun affreux dilemme !
Je me souviens du temps
Où le plus important
Etait de bien choisir
Pour donner le plaisir
La chose originale
Même parfois banale
Qui verrait le sourire
Tout aussitôt fleurir
Ces lendemains chagrins
Lorsque malgré l’écrin
La pierre qui roulait
Point douceur n’amassait
Alors qu’elle brillait
Les beaux yeux s’éteignaient
N’allant pas à la peau
Sacré manque de pot !
Je voyais, pas très fier,
Se fermer les paupières
Le sourire en grimace
Qui déformait la face.
S’il fallait une pierre
Je crois qu’à ma manière
Je saurais mieux y faire
Offrant un solitaire
Ma vie l’ayant compris
M’a rarement souri
Mais m’a fait un cadeau
Me laissant en solo
Mon dieu qu’ils sont plaisants
Ces nouveaux jours de l’an
Au diable les problèmes
Et plus d’affreux dilemme !