La muse est mosaïque aux multiples visages
Voilà ma punition j’aurais dû être sage
Lorsqu’elle m’apparaît sitôt elle s’efface
Puis revient me narguer en nombreux face à faces.
Je ne peux plus louer le joli bleu des yeux
Ils en deviennent noirs ainsi que les cheveux
Qui blondissent soudain, je sursaute et je vois
La rousse qui est là sa peau lisse en émoi.
Telle pieuvre les bras aussitôt m’emprisonnent
Dans la cellule grise un bruit de pas résonne
Et je sens arriver la douzaine de pieds
Qui en me libérant se posent sur papier.
La muse est devant moi et n’a plus de visage
La punition est là m’imposant d’être sage
Le poème d’amour en un instant s’efface
Et devant le miroir je suis seul face à face.
Et pourtant te voilà surgie d’on ne sait où
Ton image revient en un reflet très doux
Tu me saisis la main y dépose la plume.
Dans mes mots enflammés la muse se consume.
Merci Chris de te promener par chez moi Tu y es la bienvenue et puis tu peux être tranquille tu n’y rencontreras pas grand monde lol
Bisous
Ce n’est pas parceque déblogue ne publie plus que je ne me promène pas … 😉
et puis mon petit nom secret c’est Alexandrine, c’est pas un hasard ça hein ? !
😀
Bisous qui le disent pas mais bon … ça manque le mail qui annonçait « Déblogue nouveau message » 😉
J’aime beaucoup celui-ci : il me renvoit certains échos… Je n’ai plus bcp envie d’écrire, à vrai dire, je n’ai plus bcp envie de grand chose, mais j’ai toujours plaisir à te lire. Tu dois avoir raison pour la caféine ! 😉
Bonjour J.C. ,
Muses insaisissables ! Aux caprices nous laissant sur le sable !
Mais bon, pour toi elles sont très fidèles au vu de tes nombreuses poésies !
Mais il arrive que les fidèles cassent trop ! Et l’on en reste le cul bas !
Bonne journée J.C.
Pierre
De bien belles rimes ce matin, toutes de douceur. Belle journée cher JC, je te souhaite le soleil que nous avons ici.