Me voici retrouvant l’éternelle routine
Sans penser à demain à ce qu’il me destine
Je ressens bien en moi l’envie de m’éveiller
Mes aurores pourtant me semblent des veillées.
Ô raison entêtée pourquoi es-tu funèbre ?
Tes sermons tu le sais aggravent mes ténèbres
Prêchi-prêcha par ci, prêchi-prêcha par là
Je vais te bâillonner, t’envoyer par-delà !
Folie de ma jeunesse où donc t’es-tu enfuie ?
Oh ! Tu n’es pas très loin, simplement évanouie
Il me suffit d’un geste et tu prendras ma main
Au diable tout le reste ! Au diable le malin !
Je crois qu’il me faudrait en laisser mon vrai lit
Aller dormir ailleurs ou bien blanchir mes nuits
Mais serai-je encore apte à vivre dans la marge
Quitter le monde étroit et prendre le grand large ?
Avant d’aller au diable essaye mon destin
Pour arrêter ta roue de m’offrir une main
Te forçant à stopper sur une case vierge
Avec comme cadeau ma folie qui émerge !
Bonsoir J.C. !
Oh ! Tu n’es pas très loin, simplement évanouie ………… Bon, tu lui fais du bouche à bouche et puis c’est tout ! Si tu ne sais pas faire, je te donnerais des cours: quand j’étais prof, j’étais moniteur de secourisme !
A part cela, j’aime toujours autant !
PS : rassure-toi, je ne t’ai pas dans le nez !
Pas de commentaire ce matin. J’ai lu mais je ne trouve pas ce que je pourrais dire, si ce n’est bisous.
Salut Jean-Claude
A lire ce poème qui est trés bien écrit encore une fois tu passes pour un grand navigateur solitaire, style le Eric Tabarly de la poésie, la route du rhum c’est pas pour toi puisque tu ne bois pas d’alcool, tu as du faire tes débuts sur "l’optimiste" alors rappelles-toi de cette période et tu retrouveras ta joie de vivre et le cap à suivre pour respecter ton programe de l’année d’un de tes billets précédent. A toi le grand large !!! lol…
Amitiés et bon vent mon ami comme dans Thalassa !. 🙂