Ne m’offrez plus jamais de vos regards flammèches
Qui incendient le coeur et trop vite l’émèchent
Je ne succombe plus à cette folle ivresse
Qui me fit allumer tant de feux de détresse.
Ne m’offrez plus jamais vos sournoises caresses
Car je suis maintenant de ceux que le temps dresse
Bien que je sois voûté point vous ne m’envoûtez
Et tout ce qui foudroie je sais le rejeter.
Ne m’offrez plus jamais de ces flèches brisées
Blessant de toute part et donnant la nausée
Je ne redeviendrai jamais vif écorché
Mon coeur ne saigne plus que des larmes séchées.
Ne m’offrez désormais qu’une paix méritée
J’ai repoussé au loin toute témérité
Mon âme est à présent entourée de six lances
Vous ne l’atteindrez pas elle est en vigilance.
Enfin 30 secondes pour déposer ici quelques mots…
Vite je dépose mes applaudissements
Magnifique celui ci encore, aucun mot ne peut qualifier la qualité de tes vers cher JC
Je reste FAN
Plein de bisous et mille pensées pour toi
Bonjour J.C. !
Que de commentaires sur ce poème! Il le mérite bien … tu le mérites bien !
" Mon âme est à présent entourée de six lances "
Et, avant, il ne t’en suffisait que d’une ! Bon, bonjour la poésie! Mais un Rotpier ne se refait pas !
Bonne journée,
Pierre ou Rotpier: c’est comme tu le veux !
Voilà quelque chose de joliment écrit, mais qui ne saurait l’être par ma pauvre plume ma jesté !!!
Le bossu que je suis (comme cela plus ne le fout droit) s’avoue re…garder mais bien évidemment de travers…
Bisous respectueux lol
Trop joli, ton poème! Pas triste, cette fois: ton âme est vigie lente? Que voit-elle du haut du mât de son expérience?? Que c’est l’amour qui nous fait avancer, qui rend tout lumineux, qui met des étoiles dans les yeux; que tout est beau quand on est amoureux…
Tu prétends refuser… Tu repousses… C’est pour mieux succomber ensuite, n’est-ce pas!? 😉
Tes six lances ne font peur à personne. Je pense qu’elles attendent impatiemment l’occasion de baisser la garde.
Je traduis donc ta pensée… du moins, j’essaie (sorry, je n’ais pas ta divine plume :-((( )
Offrez-moi encore et toujours vos regards flammèches
Qui réchauffent mon coeur et lui donnent la pêche 😉
Ô! Succombons tous deux à cette douce ivresse
Qui incendie mon corps, oui, je vous le confesse…
Offres-moi à nouveau vos soyeuses caresses!
Car je sais maintenant, bien que le temps ne presse,
Combien vous m’envoûtez, surtout point n’en doutez!
Et tout ce qui foudroie, je veux et sais le savourer…
Me trompé-je??? :-)))
Bisous!
Marie
Pas vraiment d’accord avec toi. Certes on aime l’autre pour le bonheur qu’il nous donne et réciproquement mais si la vanité existe elle n’a jamais été un moteur quel qu’il soit (tout du moins en ce qui me concerne) sinon normal qu’il ait des ratés.
Alors non tu n’as pas raison. Aimer par vanité c’est d’un creux !
Un gros bisou !
Je mets un bémol car, en dehors de l’amour, il y a mille choses. C’est quand même pas le seul intérêt d’une vie et si tu as comme j’ai une certaine défiance du sexe opposé, zappe-le et regarde ailleurs. Tu seras étonné de voir que tout cela n’est somme toute que vanité puisqu’on veut toujours être aimé pour soi alors que l’autre vous aime pour lui.
J’ai pas raison ?
Un gros bisou.
Mon cher Jean-Claude
Puisque tu refuses tout dans ce poème, puis-je me permettre de t’offrir une chose: "mon amitié" ?
Oh je sais c’est pas grand chose, mais elle est sincère !!!
Je te souhaite une bonne journée. 🙂
Rien à dire
C’est toujours aussi beaucoup frais
tendre avec une sensibilité humoristique
piquante
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