Mais où es-tu passée mademoiselle chance ?
Je veux t’amadouer, d’où vient cette méfiance ?
C’est parce que tu sais que je suis misogyne
Que tu ne voudrais plus tomber dans mes mimines ?
Mademoiselle poisse, elle, ne m’en veut pas !
Elle est bien cramponnée me suivant pas à pas.
Ne pourrais-tu au moins me la rendre misandre
Que je me sorte de ses tortueux méandres ?
Je sais que très bientôt les poisses sont d’avril
Alors j’espère en toi j’attends ton coup de fil
Que je découvrirai pour éloigner l’angoisse
De sentir dans mon dos qu’on accroche la poisse !
Donc je te fais la cour pour qu’elle s’effiloche
Ne peux-tu l’expédier avec toutes les cloches
Aller sentir ailleurs des chemins pleins d’arômes
Qui envelopperaient son odeur qui m’embaume ?
Tout ce qu’ici j’écris ce ne sont que mots mis
T’implorant aujourd’hui d’être à nouveau ma mie
Éloigne je t’en prie ton affreux mâle chance
Fréquente-moi un peu et reprenons confiance !
Bonjour J.C. !
Jolie cour à Mademoiselle Chance ! J’espère qu’elle sucombera à tes vers et à tes jeux de mots !
Bonne journée mon ami J.C. !
Pierre
Excellent ! Si tu ne le connais pas, cela me fait penser à un titre de Paul Personne que j’adore, et dans lequel on entend ceci : "Et tu supplies à ta chance de sourire…" Tiens ! je vais te l’envoyer par mail.
Salut Jean-Claude
Que ton voeux soit exsocé et que ta volonté soit faîte !!! Amen !!!
( En rapport avec mon billet de ce jour ) mdr…
Amitiés. 🙂