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Archive for 24 mars 2007

 
Lorsque je t’écris
 
tu ne lis qu’entre les lignes.
 
Un jour
 
je t’enverrai une page blanche.

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Lorsque tu communies que la vie semble belle
Lorsque tu bois un coup qu’on verse en souriant
Les paroles les mots volent à tire-d’aile
Et les chants gentiment te rendent très confiant.
 
Lorsque tu dis allo gueulant d’un air badin
Lorsque tu mets à part tes tout petits secrets
Le plaisir est présent quand entre tiens et miens
Cette complicité discrètement se crée.
 
Pour parler on est gosse il est vrai ingénus
Prisonniers ou bien seuls nous conservons l’espoir
Car les vieux comme moi je sais bien qu’on fait rances
Mais nous rajeunissons en allant au parloir.
 
Solitude on s’entête à t’étrangler parfois
Car nous savons qu’ailleurs si le mari vaut d’âge
Le célibat sans fard procure bien des joies
Point n’envions celui qui tel nabab habille âge.
 
Lorsque le vide est haut on le ramène à terre
On se souvient alors qu’âme erra dans le temps
On partage leçons et comme par mystère
L’âme trouve sa voie et nous sommes contents.
 

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Pensée du jour

 
L’homme mûr est gris
 
s’il laisse béton !

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L’interlude fut-il ?

 
A quoi bon se créer des soucis inutiles ?
Une panne par ci, une peine par là,
Tout cela me paraît maintenant bien futile
Puisqu’un jour c’est certain cessera tout cela.
 
La panne est réparée et la peine est pansée
La pensée soulagée qui n’est plus à la peine
Reprend son apanage et redevient sensée
Pénétrant mon esprit qu’elle surprend à peine.
 
Celui-ci a d’ailleurs rassemblé dans un coin
Les souvenirs heureux, les fabuleux moments.
Ensuite il a chassé et envoyé au loin
Les malheurs, les tracas et les embêtements.
 
Le plaisir de l’écrit, lui, est toujours présent.
L’inspiration aussi qui fait que je respire
Un jour elle sera au rayon des absents
J’espère avoir le temps avant qu’elle n’expire.
 
J’aimerais tellement que la pensée sans peine
Pare d’un beau collier un merveilleux poème
Qui serait fait de mots qui tels perles s’enchaînent
Pour l’offrir à la vie et lui dire je t’aime.
 
Si je n’y parviens pas ce n’est guère important.
A quoi bon se créer un souci inutile ?
Je m’y essayerai pourtant de temps en temps
Même si tout cela me paraît bien futile !
 

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