Lorsque tu communies que la vie semble belle
Lorsque tu bois un coup qu’on verse en souriant
Les paroles les mots volent à tire-d’aile
Et les chants gentiment te rendent très confiant.
Lorsque tu dis allo gueulant d’un air badin
Lorsque tu mets à part tes tout petits secrets
Le plaisir est présent quand entre tiens et miens
Cette complicité discrètement se crée.
Pour parler on est gosse il est vrai ingénus
Prisonniers ou bien seuls nous conservons l’espoir
Car les vieux comme moi je sais bien qu’on fait rances
Mais nous rajeunissons en allant au parloir.
Solitude on s’entête à t’étrangler parfois
Car nous savons qu’ailleurs si le mari vaut d’âge
Le célibat sans fard procure bien des joies
Point n’envions celui qui tel nabab habille âge.
Lorsque le vide est haut on le ramène à terre
On se souvient alors qu’âme erra dans le temps
On partage leçons et comme par mystère
L’âme trouve sa voie et nous sommes contents.
Je serais muet d’admiration…
T’es vraiment incroyable !
Salut Jean-Claude
Encore une belle performance que tu nous présentes-là, je constate que c’est la grande forme, plaisir à voir et à lire, c’est un jeu d’enfants pour toi de faire des poèmes de ce style, tu es inimitable dans ce domaine, je me régale…
Tout compte fait aujourd’hui je me suis régalé toute la journée (voir le com que j’ai déposé derrière le tien sur mon blog) et là j’arrive sur le tien et c’est la cerise sur le gâteau, j’aurai eu droit à deux desserts aujourd’hui, merci lol…
Amitiés. 🙂
Bonjour J.C. !
Négociateur hors pair ! ………… avec de modernes moyens ! Mais, cela vaut-il le face à face, voir le touche à touche !
Bel exercice de style !
Bonne fin de journée,
Pierre