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Archive for avril 2007

(Pour rester dans la note avec le poème qui suit)
 
 
Pour l’une ou l’autre
 
"L’air ne fait pas la chanson."

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Que dit-on près du banc ?

 
 
 
 
 
Avec Maxime une sortie
Et une fois n’est pas coutume
Bons comptes faisant bons amis
Il m’a enfin rendu ma plume
 
Qui paie ses dettes s’enrichit
Il m’a redonné le sourire
Pour rien je n’ai pas fait de bruit
Préférant tenir que courir
 

Il ne dit mot et il consent
Bon payeur mais pas conseilleur
A rendre visite à mon banc
Car à tout seigneur tout honneur
 
Un homme averti en vaut deux
Nous étions quatre sur le banc
Suffit d’un rien pour être heureux
Autant en emporte le vent
 
Le banc a dit « Jeunesse passe
Mais on connaît l’arbre à ses fruits
Bon sang ne peut mentir c’est classe
Leur beau temps vient après vos pluies. »
 
« Petit à petit vos oiseaux
Ont tous fait leur nid pas à pas
Feront rivières leurs ruisseaux
Abondance en biens ne nuit pas. »
 
« A chaque jour suffit sa peine
Et l’appétit vient en mangeant
Mais dans le doute qu’ils s’abstiennent
Rien d’impossible à coeurs vaillants. »
 
Toute peine ayant son salaire
Nous avons remercié le banc
La discussion fit la lumière
Tout vient à point à qui attend
 
En cette fin du mois d’avril
A l’approche du mois de mai
Nous avons rassemblé nos fils
Et nous ferons ce qui nous plaît
 
Je vais bien faire et laisser dire
Oublier Dieu aimer les seins
Je veux être dernier à rire
Coeur sans soupir et désirs sains
 
 

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Le ralliement n’a pas eu lieu !
 
La poule manque de… pot
 
avait oublié le panache blanc…
 
*
 
Borloo Nico Sarko
 
ça rime avec haut
 
(Ma remarque paraît-elle petite ?)
 
Je crois que leur devise doit être :
 
"Il n’y a que ma taille qui m’aille…"
 
  
 

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Il n’y a pas d’offense
 
mais il me semble
 
que les éléphants
 
ne prennent pas la défense !
 
A moins que je ne me
 
trompe !
 
 

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Enivrante beauté ne grisant que mes tempes
Au bleu de mon esprit j’ai gravé ton estampe
Mon coeur se souvenant en rosit de plaisir
Rallumant aussitôt le feu de mon désir.
 
Et le rouge envahit ton image en tableau
Le décor angélique a choisi le bord d’eaux
Le Rubicon franchi l’audace fait merveille
Ressurgissent alors tous tes reflets vermeil.
 
Je pense qu’un beau jour je mettrai mon lit là
Sous son ciel plein d’azur et l’herbe en matelas
Dans un songe doré quoique trop éphémère
J’accomplirai enfin tout ce qui outre mères.
 
Si l’on me fait procès je payerai l’amende
Il se peut que mon âme à l’instant je la vende
Car maintenant je sais par les années passées
Assumer les écarts l’attelage est dressé.
 
Je goûte ces moments juste quand l’aime rôde
Il sait à bon escient arrêter sa maraude
Ah marrante est la vie quand la folie la prend
J’aime m’y aliéner car je trouve ça franc !
 
Lorsque la nuit tangue haut que ton étoile perce
Je m’assouvis au lait de la voix qui me berce
Je me plonge aussitôt dans le rêve stellaire
Et le vieil ours s’endort là où ton épaule erre.
 
En ce printemps radieux  je viens t’offrir ces vers
Jadis nous nous aimions je suis seul sur la terre
Je te l’ai dit avant je te le dis après
Dans le noir du néant je te retrouverai.
 

*

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Nous sommes
 
à la mi-temps de
 
"Elle est pugnace"
 
contre
 
"Il sait tout et a réponse à tout"
 
…Je n’ose commenter…

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Trompe-l’oeil

 
De cette fosse en blanc abritant ma jeunesse
A cette faux semblant arriver en vitesse
Il y a mes défauts sans blanc puisque bien sombres
Et dont je me défausse en blanchissant leurs ombres.
 
Il y a cet hier ôtant sa muselière
Qui s’accroche obstiné un peu comme le lierre
Et dont les irruptions devenues familières
Grouillent dans mon esprit comme une fourmilière.
 
Il y a ce présent celui que je ressens
Quelquefois bien stressant qui coule en m’oppressant
Mais en abandonnant mon pas un peu pressant
J’ai accepté du temps le merveilleux présent.
 
Il y a ce futur que je vois là venir
Les demains en avant avec un beau sourire
Pour enfouir le passé qui lui fut turbulent
Ne pourrait-il le faire à l’aide d’un pas lent ?
 
Il y a l’ami né pour être laminoir
Je voudrais l’éviter car il est en ton noir
En passant à travers je prends le promenoir
Et sans nul faux semblant je fuis son éteignoir.
 

*

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Conseil aux deux candidats :
 
Il y a peut-être des voix à prendre
 
au centre…
 
…de l’exoplanète qui vient d’être découverte…
 
  

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Pour fuir la terre et ses désastres
Je me suis rendu dans les astres
Sur Jupiter devant les cuisses
Je me suis échappé en suisse
Puis j’ai vu vingt culs sur Vénus
Dos d’Abraham sur Uranus
J’ai quitté la Lune en vitesse
J’avais trop peur qu’elle s’affaisse
Saturne est fermé pas de pot
Et sa clé pendant aux anneaux
Pluton m’a dit nom d’un pétard
De revenir un peu plus tard
Plus loin Neptune m’évacue
A coups de trident dans le cul
Mais grâce à Mars cela repart
Je redeviens un peu veinard
Sur Mercure je me dépêtre
En y trouvant un terme au mètre
Cela me permet de m’asseoir
Au grand soleil de mes grimoires.
 

*

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Parfois je me demande
 
s’ils ne se battent pas pour être dans l’opposition
 
Tant la critique est aisée…

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