Déjà publié – Revu
Nous n’avons pas je sais fait un match très parfait.
Notre préparateur psychique était mauvais.
Il nous aurait fallu jouer plus collectif
Quelques dribbles de trop, cela fut destructif.
Je t’ai bien trop souvent reprise de volée
Lorsque je te sentais quelque peu emballée
Ton jeu de tête était trop différent du mien
Et j’ai ouvert la cage où régnait ton gardien.
Nos une deux pourtant avaient bien fière allure
Pour atteindre le but ce qui paraissait sûr
Mais je t’ai fait un jour le coup du sombre héros
Et j’ai perdu par un et deux et trois zéro.
Tu m’as mis carton rouge expulsant le rebelle
Je me suis pris en mains et j’ai ouvert mes ailes
Maintenant je la joue simplement personnel
La roulette a tourné et la vie est bien belle.
Je suis accompagné de mon seul libre-arbitre
En vivant le hors-jeu cela à juste titre
Les coups de pieds vachards et tous les crocs-en-jambe
Je les évite bien, je suis encore ingambe.
Maintenant que je vis quelques prolongations
J’attrape quelquefois des ailes de pigeon
Je peux me réfugier dans leur mitan si tendre
Ma victoire est bien là, je voudrais y prétendre.
Mon vieux corps n’erre plus dans n’importe quel coin.
Pas encore amorti, de lui je prends grand soin
Je me suis recentré en enfant de la balle
Ignorant le fameux coup de sifflet final.
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