Il doit y avoir 20 danses dans ce délire
Je passe au crible avec mordant
Fendant goguenard les années
Le cours du fleuve suranné
Amont aval se succédant
Le temps gorgé de l’émotion
Réveille de doux souvenirs
Eros ornait tout l’avenir
Symbole héros de la passion
Je me sentais fort comme un roc
Même en n’étant pas vraiment beau
En habit beau parleur cabot
D’une vie de bric et de broc
Autant à Paimpol qu’à Java
Sur la mer un gai matelot
A fond de cale ipso facto
N’a badiné autant que moi
Tel un groom bas et haut j’ai eus
V’lan badaboum quand on déconne
Faire du cinéma dissone !
Jadis lots de maux j’ai connus
Et quand une étoile s’en va
Sans baratin ce fut souvent
J’étais un gars se souvenant
Qu’il trouvait beau sa nova
Colossal sacrilège ici
Que d’écrire âneries en tas
Muse où qu’t’as été chercher ça ?
Excusez-la et grand merci
coucou J.C. !
J’avoue humblement de j’en auvais raté ! Je ne ne devais pas être dans la danse !
Bien vu et encore bravo !
Pierre
J’en trouve 17 😦 faut dire qu’il est tard…
Bravo et Bonne Nuit à tous
Bisous
Danny
Mort de rire plutôt Morgan lol
En fait, je me rends compte que j’en avais trouvé que 18 et que j’en avais inventé une : le rizenta dans " Que d’ écrire âne/ries en tas ". La honte !
Bonjour J.C. !
Jolie danse ! C’est drôlement beau ! T’étais pas un peu bourrée en écrivant ça ? (sans faute!)
Signé: Oliver Twist ! Un mec qui tangue haut !
Bonne journée!
Pierre
Bon, moi j’en ai trouvé que 19 en lisant et relisant ton poème si dense !
Du grand art, J.C.
Amicalement.
Morgan.
Joli délire…ho hé du bâteau, du grand mât…
A verser dans la chanson française.
Biz.