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Archive for juillet 2008

Connerie misandre du jour

 
Après l’amour
 
où donc est passé le sexe fort ?

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Connerie misandre du jour

 

(A ne pas lire en bégayant…)
 
A la quête du bonheur
 
Il ne faut pas se contenter de donner
 
des boutons de braguette…

 

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Par précaution

 
Je dois recevoir un décodeur de chez Alice
 
afin d’avoir l’option télévision
 
Il est donc probable (mais pas certain)
 
que je sois privé d’ADSL
 
pendant la durée des travaux
 
sans doute dans deux ou trois jours
 
Comme vous avez été nombreux à vous soucier de ma santé
 
il y a quelques jours
 
(ce dont je vous remercie encore)
 
je préfère vous en aviser tant que je le peux…
 

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Insolite et ratures

Déjà publié – revu
Si le violon perce mon coeur
Dans mon automne de langueur
J’ai mal vers l’aine et les reins beaux
J’ai beau marcher criant : " Hue ! Go !"
Je prends racine et je m’encroûte
Baye aux corneilles sur la route
La pollution y est entière
Et j’y vois le tombeau de l’air
Ma conviction si molle hier
Avec ma foi se révoltèrent
Pour finir dans un cimetière
De Profundis et Proust ma chère ! 
J’ai bien des cartes dans les mains
Suis mal loti c’est mon destin
Et comme je suis mal armé
La tristesse dans l’âme naît
Céline, la Martine et Colette
M’ont quitté assez guillerettes
Pour retrouver leurs doux aimés
Deux jules romains et un Don
Un grand espagnol d’Aragon
Dans la campagne heureusement
Pas très loin d’un château brillant
J’entendis le coq tôt chanter
Près de la fontaine où coulait
L’eau en flots berçant mes pensées
Si bien qu’après cela allait
Ma conclusion est celle-là :
Cette balade m’isola !

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Connerie du jour

 
J’ai rencontré une jolie femme
 
alanguie tricotant des gambettes
 
ça chaloupait sec !
 
Mais j’ai énormément aimé ces airs

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Alice soit qui mal y pense !

 

Journée sans connexion et pas de téléphone !

Le portable est HS le silence résonne

J’en oublie pour un temps toute la blogosphère

J’ai je crois aujourd’hui la gueule d’atmosphère !

 

Le banc que j’ai quitté m’a dit très gentiment

« C’est pour te préparer au jour où forcément

Tu n’auras plus moyen de surfer sur la toile

Tes doigts ne pouvant plus mener ta planche à voile !

 

La plume et le clavier du coup me font la tête

Je les rassure un peu même l’encre est inquiète

La ligne rétablie vient me narguer soudain

Tout le monde est heureux mais d’un coup tout s’éteint !

 

Les trop rares idées au fond de ma mémoire

Se cachent encor plus riant de mes déboires

Les vers entraperçus me quittent en rampant

Je ne leur en veux pas ils n’étaient pas luisants !

 

Les mots moqueurs voudraient que tous je les dépeigne

Je ne vois pas pourquoi ! J’ai ma gueule d’empeigne !

Ils m’expliquent alors toujours en se marrant

Que quand tout marchera ils referont les crans !

 

Qu’importe tout cela ! Ce n’est guère important !

Mais tout au fond de moi pourquoi suis-je content ?

Bon sang mais c’est bien sûr ! L’inspiration absente

J’ai tout de même écrit ces phrases agaçantes !

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Connerie du jour

 

On m’avait déjà enlevé leurs bas

 

Voilà qu’on veut ôter le haut des bis

 

Ce n’est pas gay pour autant !

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Alice

 

Gros incident sur ma région chez Alice
 
Donc plus d’adsl et par conséquent pas de téléphone
 
D’où l’absence de publication
 
On va arranger ça
 
 3_8_13[1]

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Comme quoi…

Un coup de téléphone joyeux m’a fait ressortir
ce poème que je lui avais écrit
il y a environ trois ans
Tu avais l’air perdue tu es venue chez moi
Tu as quitté ton toit pour retrouver ton toi
Tu le cherches partout et tu es en émoi
Un peu déboussolée quelque peu aux abois
 
Tu peux tout regarder personne ne t’observe
Mais oui tu peux sans peur sortir de ta réserve
Non tu n’as pas changé il faut tuer tes craintes
La liberté est là sans aucune contrainte
 
Ta confiance il est vrai est assez mal en point
Oublie l’homme sans nom qui n’avait que ses poings
Tu trembles maintenant laisse aller ton courroux
Bénis donc avec moi ces heureux…contre-coups
 
Même si mon parcours est différent du tien
Même s’il te faudra du temps pour être bien
Mon expérience est là je connais le chemin
Tu peux compter sur moi je te prendrai la main
 
Ta jeunesse en atout du bonheur fera loi
Tu connaîtras crois-moi encor bien des émois
Tu te retrouveras belle comme autrefois
Et ce " toi" qui est " toi " revivra sous TON toit
 
 

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Connerie du jour

 
Le temps qui passe
 
même s’il horripile…
 
…efface

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