Dans les rues de l’indifférence
Je poursuis têtu mon chemin
Accompagné de l’espérance
La seule à me tenir la main
Je peux affronter les endroits
Où circulent comme des ombres
Air renfrogné les pisse-froid
Dont je ne compte plus le nombre
Je prends des ruelles désertes
Je plonge alors dans le passé
Que je parcours le coeur alerte
En oubliant les compassés
Dans le temps ici on pêchait
On étalait tous les poissons
Rien alors ne les empêchait
De se saluer sans façon
Le bruit de la foule qui piaille
Juste à quelques mètres d’ici
M’effraie il faut que je m’en aille
Alors j’emprunte un raccourci
Retrouvant mon itinéraire
J’oublie tous ces gens sur mon banc
Et là enfin je peux m’y faire
Je suis ici le seul forban !
*
Quartier de la Pêcherie
Montargis
hello
en voyant ces photos je me dis que les vieux quartiers n’ont pas beaucoup changé depuis que j’ai quitté Montargis
merci de nous faire profiter de cette jolie ballade tant en mot qu’en photos
te fais plein de bisous en ce vendredi
je file au boulot
à bientôt
Régine
Bouh!!!!!!!!!
Tes photos me tourneboulent…
j’ai des envies de Montargis, la plus belle ville au monde, non ?
Au lieu de cela, je file pour 5 semaines dans le sud.
Je viens te dire un petit au-revoir, car, là-bas, pas de connexion internet.
Passe un bel été mon ami.
A tout bientôt
Je t’embrasse
Marie
Ben, que dire d’autre! ! ,,? Tout est dit…encore une fois bravo l’artiste.
Belle promenade d’un solitaire jusqu’au bout des rimes.
Passe une bonne journée.
Amicalement.
Morgan.
Bonjour J.C. !
J’aime ! Et le poème et les photos ! Le mariage est très bon: c’est un étal de choix !
Bon banc : les poissons de ton lac de feront sûrement cygne !
Pierre
lol Ganzer
Oh….. un banc de poisson !!!Lol….Amicalement
Jolie balade et jolie ballade !