Lorsque comme ce soir la boule dans la gorge
Me vient de petits riens que le destin me forge
Si je lui permettais d’un seul coup d’éclater
Cela ne m’offrirait que plaisirs frelatés
Je la laisse ma foi et ce bon gré mal gré
M’envahir lentement s’installer à sa guise
J’accepte de la vie toutes les simagrées
Toute les faussetés dont elle se déguise
Je choisis celle-ci je la pointe et la vise
Mes rires en éclats célèbrent le carreau
Et le petit cochon de joie se gargarise
Quand il voit s’éloigner au moins l’un des blaireaux
La partie achevée les voici une à une
Forcées d’aller biser le cul de la Fanny
Ma gorge peut enfin chasser l’inopportune
Et je retrouve enfin une paix infinie
Déblogue 
Je n’avais pas vu Micha T’as raison lol
Après avoir chasser l’angoisse, ne pas aller tout de même tirer des plans sur la comète pour finir sur le carreau (sourire)
Joli poème, J.C.
Ce peut être aussi parfois le mois doux, non JC ? 🙂
Merci à vous tous
Eve juste un mot : C’est le mois prochain le mois doute…
Je t’embrasse
Amitiés à toutes et tous
Cher jean claude -suis pas douée pour les jeux de maux -les tiens m’interrogent toujours . Puis je douter de l’infinitude de ta paix ? 🙂 je T’embrasse -eve . .
Un instant d’état d’âme joliment partagé.
Et au prochain éclat, fasse que le souvenir soit joie…
Car après la nuit, l’astre du jour pointe malin
Le bout de sa cible, moqueur de nos tourments..
Et la boule se dégonfle …
Monsieur JCMIan
votre amertume me touche beaucoup, la vie est faite de hauts et de bats, je suis bien placée pour le dire…oups !
Les blaireaux, eveillons les !
Je vous embrasse avec une tendresse sincère.
Sabrina
Bonjour J.C. !
Excellente partie … de jonglage avec les mots !
" M’envahir lentement s’installer à sa guise " …………… comme le duc !
" Quand il voit s’éloigner au moins l’un des blaireaux " …………. tir rasant sur les blaireaux ! mais pas rasoir ni barbant du tout ! ( réponse copiée dans le Figaro )
Bon dimanche sans cinq pulls !
Pierre
Si on pouvait se débarrasser définitivement de la bêtise, quel soulagement ce serait, n’est ce pas ? Amitié. D.