J’embar..quais dans le temps sur les mers de l’amour
En pirate éhonté me disant le corps sert
A voguer dans leurs bras la nuit comme le jour
A pénétrer cet isthme en triangle mystère !
Mais j’ai cherché partout l’unique île au trésor
Déjà que j’étais borgne aveugle je devins
Et je ne suis jamais arrivé à bon port
Pourquoi ne fus-je point un vieux briscard devin ?
Je me suis donc soûlé Ô lame passagère
Aux embruns que j’ai eus jusques à m’entêter
A cette image vague Ô combien éphémère
Empruntant leur beauté je me suis endetté !
Souvent j’ai succombé aux charmes des sirènes
Celles qui m’ont rendu quelquefois fou à lier
Car j’aurais bien voulu dénicher cette reine
Afin que nous puissions nos seules voix lier
Mais je ne suis passé que de flibuste en buste
Cela m’a fatigué me voici titubant
Tout ce que je peux faire et encore c’est juste
C’est de me souvenir auprès de mon fort banc !
Encore ce "sacré" banc,
S’il n’est pas sacré
Quelle importace il a ce banc …
Joli poème, très joli
Bises
Anita
Plein de jeux de mots délicieux et coquins. 🙂
Coucou vieux pirate !
Oh ! Tu as dû en connaître des conflits bustiers ! ……….J.C. …………………… comme ….. Jacques Cartier !
Bien que ce dernier ne fut point tout à fait un pirate !
Bonne journée,
Pierre
PS : Je replonge dans le bricolage … comme lui ! ……………….. Heu ……………. le PS !
Quel voyage ! ! ! !
Ce n’était ni croisière ni…. fleuve tranquille ! ! !
Bise pour le W.E.
Magnifique ce poème !
L’important est de garder le cap pas vrai ?
Et tu sais si bien le faire
Bisous enneigés