Novembre s’éteignant décembre va venir
Il attend de se mettre sur son trente et un
Pour être de nouveau de l’année l’assassin
Comme s’il jubilait de nous faire vieillir
Mais qu’importe ce temps qui rit de nos frayeurs
Nous avons cette vie que nous dévorerons
Toutes ces grandes joies que nous y puiserons
En occultant le pire appréciant le meilleur
Philosophie d’un soir où s’envolent les ombres
Lorsque ce cher passé se met à défiler
Parsemé des bonheurs qui le font scintiller
Eloignant aussitôt toutes les idées sombres
Qu’importe le chemin qui reste à parcourir
Il suffit de l’orner avec de belles fleurs
Les arroser parfois de quelques légers pleurs
Pour goûter au plaisir de les voir s’entrouvrir
Il est très beau ton poéme.
Je l’aime beaucoup.
Merci .
Bonne soirée.
Superbe…je prends…tout
C’est oi la sage
Bises
Marie
Bonjour J. C. !
C’est Marie qui va être contente, elle qui laisse sa fenêtre entr’ ouverte !
Belle ouverture sur le meilleur restant à prendre avant que tout ne se referme !
Bonne journée,
Pierre
Qu’importe le chemin qu’il reste à parcourir
[Il faudra le tapisser des plus beaux souvenirs.]
… et tout ira mieux.