Petit passage à vide et blogoïte aiguë
Qui revient plus souvent au fil du temps qui passe
Comme si l’encrier débordant de ciguë
N’accouchait que de mots empoisonnés qui lassent
Pareils à des mots sots cratères d’illusions
Mots aristos fanés gisant dans leur plate ombre
De ces mots si usés que même zen au fond
Ils dérangent l’esprit gisant sous ses décombres
Cette pause s’impose et la plume propose
Que pendant quelques temps elle ferme le bec
Afin que l’encrier qui vraiment l’indispose
Fasse que plus ultra devienne enfin c’est nec !