Petit passage à vide et blogoïte aiguë
Qui revient plus souvent au fil du temps qui passe
Comme si l’encrier débordant de ciguë
N’accouchait que de mots empoisonnés qui lassent
Pareils à des mots sots cratères d’illusions
Mots aristos fanés gisant dans leur plate ombre
De ces mots si usés que même zen au fond
Ils dérangent l’esprit gisant sous ses décombres
Cette pause s’impose et la plume propose
Que pendant quelques temps elle ferme le bec
Afin que l’encrier qui vraiment l’indispose
Fasse que plus ultra devienne enfin c’est nec !
Question pause, je voulais dire ! Enfin, je pense que tu auras compris.
Bonsoir, Question, je m’y connais bien !… De ton côté, prends le temps de te ressourcer, de te nourrir des autres et des choses. Profites-en, je sais, comme tous ceux et celles qui viennent ici, chez toi, que tu nous reviendras la tête pleine et toute sonore de beaux poèmes.Bien amicalement.Morgan.
:-)Amitiés JC
Temps pause, tu te poses et te reposes….Bouche bien l’encrier pour que l’encre ne se fige pas, hein!Je prendrai le temps de "revisiter" tes poémes.Gors bizou, poéte.
La pause..??? … café ? …. livres ? ….aquarelles ? ….balades ?Qu’importe …! Je sais bien que poser sa plume un instant c’est l’enrichir un autre jour de tous les non-dits pantelants sans "en..crier"…gare …Alors à bientôt Cher poète !Bisessssssssss
Coucou ! Pour ton com. " nez rond " , j’y avais bien pensé, mais je ne trouvais pas la chute ! Bon après-midi ! et ………… ne picole pas trop : tu pourrais l’avoir ! ( comme disait la Mère Denis ! … qui était une sacrée vedette ! ) Rotpier
Bonjour J.C. ! Je t’ai répondu chez moi !!! Bonne journée ! Pierre