Déjà publié
Au loin j’ai entendu ton appel déchirant
Je n’ai pas répondu il est trop récurrent
Tu restes silencieuse en tes moments heureux
Tu te souviens de moi quand dans ton ciel il pleut
Tu n’ouvres pas les yeux sur l’entité des autres
Tu ne vois que par toi dans ce toi tu te vautres
Les gens sont des miroirs et toi tu t’y contemples
Le reflet qu’on en voit n’est pas très bel exemple
Si tu cherches partout un clone de toi-même
Tu ne sauras jamais le vrai sens du "Je t’aime"
Ce "Je m’aime" employé est un peu trop lassant
C’est à la fin du moi que naît le sentiment
Si tu cherches partout un clone de toi-même
Tu ne sauras jamais le vrai sens du "Je t’aime"
Ce "Je m’aime" employé est un peu trop lassant
C’est à la fin du moi que naît le sentiment
Car à la fin du moi meurt le petit sale air
Que je déteste tant tant tu peux t’y complaire
Cet air si suffisant qui ne te suffit pas
Et qui est le pourquoi du vide de tes bras