Déjà publié
J’écris toi regardant le poème latent
Fait de mots pas pillés que moi aussi j’attends
En crier serait bien un grand soulagement
Car je ne peux plus me les trouver dans le vent.
Je m’arrime pourtant à la tâche, joyeux,
Qu’à train de sénateur j’essaie de faire au mieux
Je m’apostrophe aussi, pour cette circonstance,
Mais les alexandrins manquent trop de cadence.
Je pâlis nos dires sont vraiment trop anciens
La syllabe ailée j’y voudrais bien croire un brin
En exode ce soir serait-elle partie ?
Elle erra tôt souvent désertant mon esprit.
Je relis donc mes mots et me dis : "Vire les !"
Je parcours le poème et mon dieu qu’il est laid !
Toi je t’épie t’as l’âme exquise qui mérite
Des termes d’élite et rature interdite.
Je ne t’écris donc pas, vite je prends la rose
Je t’offre son parfum et en oublie ma prose
Allons boire une coupe en des verres à pied
La poésie pourra à ces verres s’y fier.
Un tour de force ludique qui force aussi mon admiration !
Chapeau bas, Monsieur,, je vous happe une strophe : la dernière est trop belle…
coucouce qui est bien quand on vient sur ton espace, c’est que je découvre des mots que je ne connaissais pas, et dont je trouve le sens dans le dico… hé oui !!! il faut encore que je l’ouvre mais bon… il n’y a pas d’age pour apprendre un gros bisouRégine
Bonjour J.C. ! Joli tour du vocalulaire de la poésie en ……………. vers ! A la tienne Etienne !Je te "renvoi " le bonjour !Pierre