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Ô ce court intermède au milieu du naufrage
A ramené l’allant oublié d’un autre âge !
Au secours un tiers m’aide à voir le paysage
En ramant à l’aller m’invitant au voyage
Est-ce haut est-ce bas qu’est le moral ce soir ?
A l’aide de ses yeux je perce enfin le noir
Sa tendresse capée chapeaute mes espoirs
Et me voici sauvé car je peux enfin voir
La boue est rejetée je peux enfin nager
Ce n’est pas de bonne heure or je veux bien plonger
Car même si je coule il faudra émerger
Retrouver le soleil finir à l’ombre âgé
Tout ceci n’est que rêve il faut que je me pousse
Car je ressens souvent à mes arrêts secousses
Mais le songe insistant je vois la délivrance
Ce poème aurait dû au moins être à six stances !
La musique qui accompagnait ce texte
était "Take five" interprétée par The Dave Brubeck Quartet
Et il ne t’a pas à six thés ? pffff … terrible ça ! On ne peut même plus compter sur les peaux aime ! heu … oui bon … je vais me coucher !rires Bonne nuitBisous
Bonsoir J.C. ! "Ce poème aurait dû au moins être à six stances !" ………………………………… publique bien entendu ! L’avantage certain d’un gars qui fait une croisière avec son énorme femme, c’est qu’en cas de naufrage, il ne manque pas de bouée !Je me sauve pour ce soir !Bonne soirée,Pierre ( le Rotpier n’est pas loin ! )