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Archive for avril 2010

1er mai

 
Quelques brins de bonheur pour vous tous
 
Photo France-soir
 
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Paris :
La foire a commencé
Europe :
Ici aussi !
 
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Le futur repas économique
1 verre de Porto
1 part de paella
1 part de feta
 
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Football ligue des champions
On n’a pas eu un match inter minable !
 
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Supprimer les associations de supporters
ça ne vaut pas dix sous
 
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Soldes
De plus en plus ford ! 
Une nouvelle escort à 20.000 euros
 
 
 
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Football :
Le Bayern de Mu…nique l’Olympique Lyonnais
 
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Achetez des blousons ! 
Finis les bas de laine !
Chine et France pour un nouvel ordre monétaire multipolaire
 
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L’euro a du cholestérol !
 
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Pour éviter la crise à la télé
étant donné l’état des bourses
un nouveau feuilleton est en préparation
"Hellène et les glaçons"
 

   
La danse de Zorba le Grec
envoyé par aandre_danyel. – Regardez d’autres vidéos de musique.

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L’ex-dictateur Noriega préférait Panama à Paname !
 
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TF1 a présenté hier soir une carte de la Belgique
 qui date sans doute de 69 !
 
Photo Libération
 
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C’est au jeu de l’oie en juillet
que tout se décidera pour la burqa
 
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La boucherie nantaise cambriolée
(De source bien informée on aurait dérobé un morceau dans la culotte)
 
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Manifestation
Les agriculteurs étaient loin d’être décontractés !
 
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Je ne comprends pas le scandale
Chacun tire son cou comme il le veut
 

 
 Photo Le Figaro
 
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Angela Merkel n’a pas trop envie
d’aller se faire voir chez les grecs !
 
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Edouard, quand on lui parle d’armement et de balles, l’a dure
et il a le pas qui s’tend !
 
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Lancement raté de la mode du niqab à volant !
 
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Arménie

 
24 avril 1915 – 24 avril 2010
95ème anniversaire du génocide arménien
(1.500.000 victimes)
 
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Paroles : Charles Aznavour
Musique : Georges Garavarentz
 

    

Ils sont tombés sans trop savoir pourquoi
Hommes femmes et enfants qui ne voulaient que vivre
Avec des gestes lourds comme des hommes ivres
Mutilés massacrés les yeux ouverts d’effroi
 
Ils sont tombés en invoquant leur Dieu
Au seuil de leur église ou le pas de leur porte
En troupeaux  de désert  titubant en cohorte
Terrassés par la soif la faim le fer le feu
 
Nul n’éleva la voix dans un monde euphorique
Tandis que croupissait un peuple dans son sang
L’Europe découvrait le jazz et sa musique
Les plaintes des trompettes couvraient les cris d’enfants
 
Ils sont tombés pudiquement sans bruit
Par milliers par millions sans que le monde bouge
Devenant un instant minuscules fleurs rouges
Recouverts par un vent de sable et puis d’oubli
 
 
Ils sont tombés les yeux pleins de soleil
Comme un oiseau qu’en vol une balle fracasse
Pour mourir n’importe où et sans laisser de trace
Ignorés oubliés dans leur dernier sommeil
 
Ils sont tombés en croyant ingénus
Que leurs enfants pourraient continuer leur enfance
Qu’un jour ils fouleraient des terres d’espérance
Dans des pays ouverts d’hommes aux mains tendues
 
Moi je suis de ce peuple qui dort sans sépulture
Qui a choisi de mourir sans abdiquer sa foi
Qui n’a jamais baissé la tête sous l’injure
Qui survit malgré tout  et qui ne se plaint pas
 
Ils sont tombés pour rentrer dans la nuit
Eternelle des temps au bout de leur courage
La mort les a frappés sans demander leur âge
Puisqu’ils étaient fautifs d’être enfants d’Arménie
 

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16.04.2010

 
J’ai eu du mal à atteindre cette date…
C’est la raison pour laquelle Déblogue sera en sommeil pour quelque temps
Merci à vous tous pour votre soutien pendant cette difficile période

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Petits mais

 
 
 
 
 
Dans ce monde insensé où tout n’est que profit
J’aime les petits riens qui font que je souris
Une parole aimable un sourire amical
Tout heureux  j’ai le coeur qui de nouveau s’emballe
 
Le printemps tout heureux m’adresse des clins d’oeil
Le bourgeon devient fleur afin que je la cueille
Le froid est toujours là mais toute la chaleur
S’accumule parfois en des mots de douceur
 
Amour et amitié réels ou virtuels
Des secrets partagés dans la vie ribambelle
Confiance retrouvée espoir sempiternel
Avec ces petits riens Dieu que la vie est belle !
 
On n’en rêve jamais de ces petits riens là
Parce qu’ils sont présents parce qu’ils sont bien là
On les vit chaque jour si minimes qu’ils soient
Mais des petits ruisseaux  jaillit souvent la joie
 
 

 

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Des tresses

 
 
 
 
 
Les mots ambassadeurs d’une pensée complexe
Hésitent sous la plume elle-même perplexe
Se bousculent alors les nombreux synonymes
Désirant de l’idée devenir éponymes
 
Les termes aimeraient soigner la chevelure
De ce poème hirsute en servant de parure
Alors le dépeignant ils le peignent encore
Pour brosser un tableau à belle toison d’or
 
Voilà l’épi rebelle en rime inopportune
Transformant les écrits comble de l’infortune !
Le papier offensé finit par se froisser
Le poète déçu en vient à s’angoisser
 
Vingt fois sur le métier il remet son ouvrage
Vingt fois trop impuissant il écume de rage
Soudain le mot paraît du salut belle planche
Afin que l’homme heureux peigne sa page blanche
 

 

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Enivrante beauté ne grisant que mes tempes
Au bleu de mon esprit j’ai gravé ton estampe
Mon coeur se souvenant en rosit de plaisir
Rallumant aussitôt le feu de mon désir
 
Et le rouge envahit ton image en tableau
Le décor angélique a choisi le bord d’eaux
Le Rubicon franchi l’audace fait merveille
Ressurgissent alors tous tes reflets vermeil
 
Je pense qu’un beau jour je mettrai mon lit là
Sous son ciel plein d’azur et l’herbe en matelas
Dans un songe doré quoique trop éphémère
J’accomplirai enfin tout ce qui outre mères
 
Si l’on me fait procès je payerai l’amende
Il se peut que mon âme à l’instant je la vende
Car maintenant je sais par les années passées
Assumer les écarts l’attelage est dressé
 
Je goûte ces moments juste quand l’aime rôde
Il sait à bon escient arrêter sa maraude
Ah marrante est la vie quand la folie la prend
J’aime m’y aliéner car je trouve ça franc !
 
Lorsque la nuit tangue haut que ton étoile perce
Je m’assouvis au lait de la voix qui me berce
Je me plonge aussitôt dans le rêve stellaire
Et le vieil ours s’endort là où ton épaule erre
 
En ce printemps radieux  je viens t’offrir ces vers
Jadis nous nous aimions je suis seul sur la terre
Je te l’ai dit avant je te le dis après
Dans le noir du néant je te retrouverai
 

 

 

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