Face à la mer et je te cause encore
Où sont passés tous ceux d’avant
Qui m’appelaient le cœur d’or
Et qui te chantaient tant de bravos
Avec un style bien phrasé
En t’appelant maître des mots
Et en louangeant tes pensées
S’inquiètent-ils de tes silences
Quand ta plume devient fardeau
Au rendez-vous de nos errances
Les souvenirs prennent l’eau
On se croisera encore demain
L’amitié n’a pas peur du temps
Tu verras, on rira de nos chagrins
Assis peinards sur mon banc…
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