3 décembre 2010 par jcmian
Elle m’a fait une bise… Ce n’était que du vent…
Publié dans Pensées | Tagué Connerie du jour | 11 commentaires
Vraiment très bon. CE n’est manifestement pas une « connerie ».
Merci de votre passage
Coucou J.C !
J’avais bien vu alors, c’était le Rocco qui la faisait reluire !
Le Rotpier
Coucou J.C. !
N’était-ce point la dénommée Miss Tral ? Celle du midi ? Celle qui bisait à tout va ?
Je ne sais pas moi !
Bonne soirée mon J.C. !
Oui c’est bien d’elle qu’il s’agit Elle était maquée à sire Rocco…
A vouloir te passer d’elle est aussi illusoire que de te croire indispensable. Na
Tu as le temps d’en arriver à mon état d’esprit je pense et puis il est fort possible qu’il y ait quelque part des gens heureux… Mais en ce qui me concerne cela est devenu indispensable de ramper et de me passer d’ailes…
cette bise a-t-elle brisé l’orage ?
Si oui temps mieux Si non temps pis 😉
JC, si je comprends bien il y aurait donc la bise, la brise, et puis les emmerdements…
Tu as raison Armando et c’est d’aileurs la raison pour laquelle au bout d’un moment le mec s’écrie : « Tu me les brises ! »
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Δ
Retraité comme l'uranium ...mais pas enrichi
Vraiment très bon. CE n’est manifestement pas une « connerie ».
Merci de votre passage
Coucou J.C !
J’avais bien vu alors, c’était le Rocco qui la faisait reluire !
Le Rotpier
Coucou J.C. !
N’était-ce point la dénommée Miss Tral ? Celle du midi ? Celle qui bisait à tout va ?
Je ne sais pas moi !
Bonne soirée mon J.C. !
Le Rotpier
Oui c’est bien d’elle qu’il s’agit
Elle était maquée à sire Rocco…
A vouloir te passer d’elle est aussi illusoire que de te croire indispensable. Na
Tu as le temps d’en arriver à mon état d’esprit
je pense et puis il est fort possible qu’il y ait quelque part des gens heureux…
Mais en ce qui me concerne cela est devenu indispensable de ramper et de me passer d’ailes…
cette bise a-t-elle brisé l’orage ?
Si oui temps mieux
Si non temps pis 😉
JC, si je comprends bien il y aurait donc la bise, la brise, et puis les emmerdements…
Tu as raison Armando et c’est d’aileurs la raison pour laquelle au bout d’un moment le mec s’écrie :
« Tu me les brises ! »