Eternelle question du pourquoi de l’écrit
A laquelle il est vrai il est tant de réponses
Pour moi c’est simplement pour expulser les cris
Qui m’obstruaient l’esprit de leurs regrets abscons
Au diable à tout jamais ce besoin de gloriole
Auquel tout au début je n’ai pas dérogé
Cette idée maintenant paraît tellement folle
Que j’ai honte parfois d’avoir pu y songer
Sur la toile éthérée les talents sont si rares
Ceux qu’on lit ébahis devant tant de génie
Il en est quelques uns qui brillent comme phares
Eblouissant mes yeux et que je remercie
Jouer avec les mots au ras des pâquerettes
Repoussant l’escabeau le mettant au rebut
Se dire qu’on est bien vautré sur la moquette
Ne voulant pas péter bien plus haut que son cul !
Sur mon premier degré j’ai déjà le vertige
Je redescends sur terre et me sens beaucoup mieux
De la langue fleurie j’ai dû chercher la tige
Mais la fleur a fanée je suis devenu vieux !
Eternelle question du pourquoi de l’écrit
Ma réponse je crois enfin l’avoir trouvée
Je sais qu’un jour prochain je n’aurai plus de cris
Et l’esprit dégagé pourra encor rêver
Merci Chris
Bisous
Blanchi oui et après ? esprit toujours alerte, les mots toujours vifs et bien tournés, peut être ne les couches tu plus autant que tu voudrais mais tes vers sont épatants mon cher JC ! Et au ras des pâquerettes qu’est ce qu’il fait bon técouter … même si tes cris 😉
Bisous
JC, c’est un pur moment de bonheur avec tes mots et la musique de Clapton accompagnée de Sheryl Crow… Merci
Bisous 😉
Merci Denise et bisous
Bonsoir J.C. !
Ecrire est un besoin pour celui qui à commencer … un peu comme une drogue.
C’est une addiction … enfin, je crois !
Bonne soirée et ne te soigne pas !
Pierre
Faudrait pourtant Pierre mais bon on verra bien !