Les jours se suivent
Assez changeants
L’esprit esquive
En s’obligeant
A ne garder
Que les moments
Où s’attarder
Devient charmant
Mon passé garde
Le beau présent
Je me hasarde
En proposant
A ce futur
Bel inconnu
Que l’aventure
Se continue
Ma solitude
A le sourire
Mes turpitudes
Sont sans soupirs
Et ma sagesse
Que j’ai trompée
Vient me caresse
Sans m’écharper
Les mots d’amour
Un peu frustrés
Ont fait un four
Sans se montrer
L’encre préfère
Ne pas sortir
Du bec pervers
Pourquoi mentir ?
Faudra-t-il lire
Entre les lignes
De mes délires ?
Et comme un signe
Je sens la plume
Qui en frétille
Chassant la brume
Et s’émoustille
Mais je la freine
Avec du mal
Elle est en peine
Et même râle
Pour la calmer
Et sans crier
Je vais fermer
Mon encrier
Tu oses museler ta plume qui frétille en lui fermant le clapet ? 😉 Fort heureusement tu encres nos jours de tes mots avec toujours autant de sensibilité , merci JC
Bisous
Joli commentaire Merci
Bisous
J’adore, c’est tout
Cat
Merci à toi Cathy
Toujours heureux de tes passages
Bisous
Les paroles du poème accompagnent la musique dans le même rythme « and blues » ! quelle performance ! merci JC chef d’orchestre !
Je me répète mais merci pour ta fidélité Thalie
Bisous