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Bon sang voici déjà l’automne !
Nous allons parler des couleurs
Aussi de langueur monotone
Et puis de feuilles qui se meurent
Nous évoquerons le printemps
Qui va venir dans son lit vert
Annonçant l’été dans un an
Arrivant à tombeau ouvert !
Alors je regarde derrière
Il vaut mieux prendre les devants
Je me repais de mes hiers
Car ma vie n’est plus que du vent !
Ce vent volant les feuilles mortes
Du brouillon de toute ma vie
Mais je me dis que peu m’importe
Deçà delà j’en fus ravi
Comment peux tu parler de brouillon alors que tes pages sont fort bien écrites mon cher JC ! Oh bien sûr les jours ont leur lot de peines, de chagrins, de regrets, de rêves, d’inachevé … mais tant de beautés aussi non ? Bon pour ce qui est des jeux de mots glissés ça et là dans tes mots, je dis bravo comme d’hab’ !!
Bisous qui raccourscissent 😉
Tu n’as pas tort j’écrivais à peu près la même chose en commentaire tout à l’heure en ce qui concerne les bons moments 😉
Bisous et merci à toi
Mais le temps qui passe souffle encore la braise de la tendresse et de la vie.
Amitiés
Chouette Armando !
Je vais faire des économies de chauffage alors 😉
exactement ce qu’il fallait dire 😦
Je t’embrasse
Marie
Et bien c’est dit Marie ! 😀
Bisous
Merci à vous deux
Bonne journée
Un plaisir de traîner par là !
quel bel automne décrit avec des mots qui prennent des couleurs et Charles Trenet qui ramasse aussi des applaudissements