je te souhaite simplement un dimanche avec un rayon de soleil ; pour parodier karine je dirais (toi qui n’es pas mon père) que je suis ravie de t’avoir rencontré et tu n’es pas le célibataire de la poésie car tu le sais tu as plein d’amis qui t’aiment et t’apprécient célibataire ou pas !!!!!!!!!! je t’embrasse
Sympa d’apprendre que tu aurais préféré rester célibataire : je ne serais pas née, ce qui m’emm… sincèrement 🙂 car depuis que je goûte mieux le bonheur d’être bien vivante, la merveille c’est tous les jours : mes nièces (tes petites-filles), la forêt, l’océan, des sourires gratuits croisés dans les hôpitaux, ces dernières années, et des milliers d’autres petites choses à cueillir chaque jour, si on le veut…. Il faut souvent attendre de côtoyer d’infinies souffrances pour apprécier la merveille, ce qui est vraiment très judéo-crétin mais fréquent – elles sont devenues des maîtres. Comme les saisons, que tout le monde n’a pas la chance de vivre toutes. Je te souhaite un bel, un grand et de plus en plus paisible hiver, toi qui as la chance d’être arrivé là après une vie bien remplie. Et si maintenant tu écrivais sur ce qui a été lumineux dans cette vie ?
Je me trompe ici aussi peut-être mais j’ai le sentiment que cela ferait beaucoup de bien à ton corps comme à ton âme.
Mais chaque chose en son temps et peut-être est-il encore trop tôt ?
Prends-le bien, ce temps insensé qui n’a de sens que par ce qu’on en fait.
Gros bisous & pensées douces,
« Tout comme le noyau d’un fruit se brise pour exposer son coeur au soleil, il vous faut connaître la douleur. Et si votre coeur pouvait s’émerveiller en permanence devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne lui paraîtrait pas moins étonnante que votre joie ; Et vous accepteriez les saisons de votre coeur de la même façon que vous avez toujours accepté la succession des saisons dans vos campagnes. Et vous veilleriez sereinement au long des hivers de votre souffrance ».
C’est une bien jolie présentation que tu nous offres, JC. J’aime beaucoup.
Le temps va se rafraîchir alors n’oublie pas de calfeutrer ta porte…
Reçois mes douces pensées pour ce début de soirée.
Bisous
je te souhaite simplement un dimanche avec un rayon de soleil ; pour parodier karine je dirais (toi qui n’es pas mon père) que je suis ravie de t’avoir rencontré et tu n’es pas le célibataire de la poésie car tu le sais tu as plein d’amis qui t’aiment et t’apprécient célibataire ou pas !!!!!!!!!! je t’embrasse
C’est un très beau texte, J.C.
Bonne année, malgré tout…
Sympa d’apprendre que tu aurais préféré rester célibataire : je ne serais pas née, ce qui m’emm… sincèrement 🙂 car depuis que je goûte mieux le bonheur d’être bien vivante, la merveille c’est tous les jours : mes nièces (tes petites-filles), la forêt, l’océan, des sourires gratuits croisés dans les hôpitaux, ces dernières années, et des milliers d’autres petites choses à cueillir chaque jour, si on le veut…. Il faut souvent attendre de côtoyer d’infinies souffrances pour apprécier la merveille, ce qui est vraiment très judéo-crétin mais fréquent – elles sont devenues des maîtres. Comme les saisons, que tout le monde n’a pas la chance de vivre toutes. Je te souhaite un bel, un grand et de plus en plus paisible hiver, toi qui as la chance d’être arrivé là après une vie bien remplie. Et si maintenant tu écrivais sur ce qui a été lumineux dans cette vie ?
Je me trompe ici aussi peut-être mais j’ai le sentiment que cela ferait beaucoup de bien à ton corps comme à ton âme.
Mais chaque chose en son temps et peut-être est-il encore trop tôt ?
Prends-le bien, ce temps insensé qui n’a de sens que par ce qu’on en fait.
Gros bisous & pensées douces,
« Tout comme le noyau d’un fruit se brise pour exposer son coeur au soleil, il vous faut connaître la douleur. Et si votre coeur pouvait s’émerveiller en permanence devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne lui paraîtrait pas moins étonnante que votre joie ; Et vous accepteriez les saisons de votre coeur de la même façon que vous avez toujours accepté la succession des saisons dans vos campagnes. Et vous veilleriez sereinement au long des hivers de votre souffrance ».
Le Prophète de Khalil Gibran
C’est une bien jolie présentation que tu nous offres, JC. J’aime beaucoup.
Le temps va se rafraîchir alors n’oublie pas de calfeutrer ta porte…
Reçois mes douces pensées pour ce début de soirée.
Bisous
Merci et bisous Denise