Armando a voulu mettre un commentaire mais MSN le lui a refusé parce qu’il est trop long
Il me l’a envoyé par mail et je l’en remercie
Le voici :
Je viens m’asseoir sur mon banc
Face à la mer et je te cause encore
Où sont passés tous ceux d’avant
Qui m’appelaient le cœur d’or
Et qui te chantaient tant de bravos
Avec un style bien phrasé
En t’appelant maître des mots
Et en louangeant tes pensées
Face à la mer et je te cause encore
Où sont passés tous ceux d’avant
Qui m’appelaient le cœur d’or
Et qui te chantaient tant de bravos
Avec un style bien phrasé
En t’appelant maître des mots
Et en louangeant tes pensées
S’inquiètent-ils de tes silences
Quand ta plume devient fardeau
Au rendez-vous de nos errances
Les souvenirs prennent l’eau
On se croisera encore demain
L’amitié n’a pas peur du temps
Tu verras, on rira de nos chagrins
Assis peinards sur mon banc…
*
j’ai regardé hier soir, une émission sur "DIEU existe-t’il ?" y était Jean d’Ormesson que j’aime beaucoup, dont les réponses m’ont fait penser à toi, (de voir si c’est un hommage ! …….pour moi, c’est oui !
Pour accompagner ce poéme je pensais à Brassens et ses "copains ..d a(e)bord" Vous deux c’est : "les copains de banc"
Mais que dire après si beau commentaire ?L’amitié ne craint pas le temps c’est certain quand on vous voit tous les deux n’est ce pas ?! :))Bisous cher JCà bientôt
Salut J.C,J’espère que tout va bien pour toi.Le poème d’Armando, en tout cas, est très beau.Au plaisir de te lire.Morgan.
Je viens me poser un instant sur le banc,je sais que tu y passes,de temps à autre…j’espère que tu vas bienje t’embrasse bien amicalement cher J-CMarie
le temps où on peut rire de ses chagrins est une bénédiction ! Et en rire avec un ami, cela n’a pas de prix !
Coucou Mon J.C. ! …………… Et aussi à Armando !M. MSN m’a déjà fait le coup ! Bon banc à vous deux et bon après-midi !Pierre