Pastiche de Verlaine
Je vous prie de m’excuser
c’est la fatigue sans doute l
Un homme affaibli
Cesse tous ses chants
Ne mêlant qu’au lit
Ses soleils couchants
Mais si lent qu’au lit
En reprend un chant
Son coeur qui n’oublie
Ses soleils couchants
Mais d’étranges rêves
Têtus se relayent
Alors sur les grèves
Fantômes s’éveillent
Défilant sans trêve
Troublant son sommeil
Ombrant ses soleils
Couchants qui en crèvent !
(Poème ça turne pas bien…)