Dans la vie quelquefois il faut savoir apprendre
En se mettant à nu et ne pas se méprendre
Les erreurs du passé peuvent faire comprendre
Qu’on n’a jamais su lire la carte du Tendre
"Perfidie du bison se croyant très futé
Avec empressement sans générosité
Bisons se disait-il avec légèreté
Faisant alors bien fi de sensibilité !
Il en connut ainsi un lac d’indifférence
Car il n’avait pas su faire la différence
Entre un orgueil néfaste et simple probité
Entre la complaisance et la sincérité
De par sa négligence il sombra dans l’oubli
Cette mer dangereuse aussitôt l’engloutit
En ayant ignoré la nouvelle amitié
Il découvrit ainsi l’amère inimitié
L’agneau de son côté usa de son grand cœur
Billets galants ardents billets doux sans tiédeur
Il fut aux petits soins avec assiduité
Grands services rendant avec grande bonté
Jamais d’indiscrétion ni de méchanceté
Aucune soumission pas d’inégalité
Et au lieu d’être objet de grande médisance
Il reçut jolis vers pleins de reconnaissance
La confiante amitié lui valut le respect
Obéissance en lui grand esprit circonspect
Tendresse plein le cœur que lui sut mettre à nu
Evitant de l’amour les terres inconnues"
quoi??? un jc plein de tendresse et de complaisance??OU EST LE VRAI JC rendez moi le !!!!merci d’être là bises Lola
Bonjour J.C. ! Le col de ta muse ? Le lac, je ne sais pas où le placer ! ……………. A moins que je ne prenne des vessies pour des lanternes et que mon éclairage ne soit pas bon ! Belle inspiration ! Et jolie chanson de Georges que je ne connaissais pas ! Bonne journée, Pierre
Tiens, tiens, il semblerait bien que Ta muse muse de nouveau très joliment dans les parages. Bonne nouvelle pour toi… et pour nous, pardi !Amicalement.Morgan.