Encore un soir maussade où les idées s’embrouillent
Je cherche à rigoler et je reviens bredouille
Craintes auriez-vous eues sur la dernière rime ?
Ne vous inquiétez pas un jeu lutin m’anime
La plupart des pensées qui aujourd’hui m’habitent
Font que de temps en temps point trop je ne cogite
Elles s’envolent loin comme oiseaux sauvagins
Je reste sur ma faim et me voici à jeun !
Il me faudrait bien sûr recharger les accus
Prendre les mauvaises que je les évacue
Car en me les gardant j’ai l’air d’un cornichon
Et tout ce que j’écris n’a rien de folichon
En plus assez souvent ces idiotes divergent
Et j’ai beaucoup de mal à ce qu’elles convergent
Donc en ce moment c’est vrai je le confesse
Mon esprit déserté tout doucement s’affaisse