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Archive for novembre 2008

Fin de dimanche

 
 
 
 
 
 
 
Quelques vers
Arbitraires
De travers
Solitaires
 
Quelques rimes
Anonymes
Qui s’arriment
Unanimes
 
Des quatrains
Pas contraints
Dans le train
De l’entrain
 
Quelques pieds
Estropiés
Va-nu-pieds
Sur papier
 
Quelques strophes
Limitrophe
Catastrophe
Philosophe !
 
Un poème
De bohème
Stratagème
Mais moi j’aime
 

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Connerie du jour

 
Réservez pour Décembre
 
(Dernier mois de l’ânée !)
 
Le 25 j’organise un boeuf
 
à la crèche de Bethléem
 
En plus
 
en première partie
 
il y aura de la magie
 
et une étoile en vedette…
 
J-C
 

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Connerie du jour

 
Aucun doute !
 
Il faut prendre le bonheur flagrant des lits…

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Connerie du jour

 
L’éclair du coup de foudre
 
m’a toujours laissé chocolat…

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Supplique

 
 
 
 
 
 
 
 
Veux-tu prier pour moi Saint Drome s’il te plaît ?
Je suis un peu perdu devant ma page blanche !
A l’entour de l’esprit le silence est complet
Reviendra-t-il le temps des mots en avalanche ?
 
Cela tourne en ma tête tout comme en un manège
Le mot monte et descend tel le cheval de bois
Je crois qu’on m’a jeté un mauvais sortilège
Ce qui rend attristée cette plume aux abois
 
Même l’encre se gausse et complique ma tâche
Je me revois enfant déçu de ces pâtés
Que la sergent-major à cause de ses taches
Me faisait par le prof traiter d’âne bâté !
 
Quelle est donc cette vie qui entretient sans cesse
Les rêves éculés les mêmes utopies
Le mal-être constant qui chaque jour m’agresse
Me faisant seriner les mêmes litanies ?
 
Saint Drome je t’en prie fais que ma page blanche
N’accueille plus les maux de la réalité
Remplit donc celle-ci de joies en avalanche
Que je pourrais décrire avec félicité
 

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Connerie du jour

 
Bizarre tout de même !
 
Est-ce parce que je n’ai plus de cavalière
 
que les nuages sont moins denses ?

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Novembre s’éteignant décembre va venir
Il attend de se mettre sur son trente et un
Pour être de nouveau de l’année l’assassin
Comme s’il jubilait de nous faire vieillir
 
Mais qu’importe ce temps qui rit de nos frayeurs
Nous avons cette vie que nous dévorerons
Toutes ces grandes joies que nous y puiserons
En occultant le pire appréciant le meilleur
 
Philosophie d’un soir où s’envolent les ombres
Lorsque ce cher passé se met à défiler
Parsemé des bonheurs qui le font scintiller
Eloignant aussitôt toutes les idées sombres
 
Qu’importe le chemin qui reste à parcourir
Il suffit de l’orner avec de belles fleurs
Les arroser parfois de quelques légers pleurs
Pour goûter au plaisir de les voir s’entrouvrir
 
 

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Connerie du jour

 
Ne plus s’exprimer au futur ?
 
C’est cela vieillir…

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Les survenirs

Vous avez réagi sur le néologisme « Survenirs »
Je m’étais inventé ce mot (suis-je le seul ?)
sur ce poème publié sur ce blog le 22/01/2005
 
 
 
 
 
 
Très souvent les paroles ne sont que des mots
Réveillant du passé d’inutiles fardeaux
Assez belle est la vie même si l’on est seul
Laissons les souvenirs dormir dans leur linceul
 
Ouvrons tout grands nos yeux sur le doux « survenir »
Qui à chaque moment peut pourquoi pas surgir
Egayant de couleurs tout ce ciel assombri
Ramenant le bonheur qu’on mettra à l’abri
 
Partager est aisé lorsque l’on n’a plus rien
A quoi bon s’étonner si vide est le chemin
Mais j’ai trouvé la clé pour ouvrir les nuages
Pour sourire à la pluie et chasser les orages
 
Je laisse donc mes yeux à cette boulimie
Qui leur fait dévorer tout ce qui est joli
Le plaisir est abstrait la joie, elle, est réelle
Je n’y puis rien changer les femmes sont si belles !
 
C’est avec le regard que je leur fais l’amour
Le langage des yeux disert leur fait la cour
Et si par grand bonheur s’éclaire leur visage
Le soleil ébloui repeint le paysage
 
Ce ne sont que des riens ce ne sont que des rêves
Accordant au futur une bien douce trêve
Assez belle est la vie même quand on est seul
Laissons les « survenirs » ignorer le linceul
 

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Connerie du jour fabluleuse…

 
Je ne sais vraiment pas pourquoi
j’ai relu cette fable de notre cher La Fontaine ?
 
 
 
 

La Grenouille qui voulait se faire
aussi grosse que le Boeuf

 

Une grenouille vit un boeuf

Qui lui sembla de belle taille.

Elle qui n’était pas grosse en tout comme un oeuf

Envieuse, s’étend et s’enfle et se travaille pour égaler l’animal en grosseur

Disant :  » -Regardez bien ma soeur

Est-ce assez ? Dites-moi. N’y suis-je point encore ?

-Nenni – M’y voici donc ? – Point du tout – M’y voilà ?

– Vous n’en approchez point. »

La chétive pécore s’enfla si bien qu’elle creva.

 

Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages

Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs

Tout petit prince a des ambassadeurs

Tout marquis veut avoir des pages

 

 

 

 

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